Salut,
aujourd'hui j'ai eu de la chance: j'ai entendu Patrick Artus,
Economiste , Chef économiste chez Natixis, professeur d'Economie à Polytechnique, Membre
du Conseil d’analyses économiques et Conseiller de Sarkoléon Nicolaparte et ancien Ministre il me semble,
mais que ces gens s'oublient vite.
Il était l'invité de France inter du 7-10 dans le truc interactif, vous savezlà où c’que
les auditeurs i peuvent poser pleins de questions. (pour de faux débats comme dans
les emmissions de Yves Calvi à la télé ou à la radio.NDLC) Je vais y revenir mais avant je voudrais
vous dire combien ces derniers temps ma joie était grande de voir confirmées nos théories sur
ce « monde de l'argent Roi », devenu argent Dieu, nous avons vu se réaliser le rêve de tout sociologue
ou utopiste autorisé : voir le monde devenir un immense laboratoire où, enfin se matérialise la PREUVE.
La preuve que l'argent est l'essence de ce monde, certes, mais qu'il est là pour maintenir les foules,
les gens, les masses, les humains au travail.
Travail compris, non plus comme activité utile pour survivre (le froid, le manger, le se protéger, le niquer,
le procréer etc...) mais, travail comme punition et surtout comme occupation pour ne pas penser à ...vivre.
Mais où, quand et comment cette preuve ? et bien cet été et encore en ce moment, quand les banques
ont "subi le contre-coup de leurs fumeuses affaires en immobilier aux états unis: les "crédits subprime"
qu'on peut appeler grosse arnaque quand on a mauvais esprit comme moi.
Les chiffres cités ont été quelque peu flous et divers mais en gros on a appris que la banque centrale
européenne a distribué aux banques d'affaires (les nôtres) entre 150 et 350 milliards d'euros.
Pour ne pas mettre en faillite les dites banques. A ce moment de l'histoire on peut se demander
pourquoi on donne de l'argent aux banques, pourquoi on ne le donne pas aux gens qui ont des
difficultés à payer leurs crédits immobiliers en direct et ce reviendrait à le refilert aux banques mais
entre temps les gens seraient tranquilisés ou aux moins sassurés de pouvoir payer les intérets,
enfin on peut se poser pleins de questions légitimes.
Ces questions n'ont été bien sûr traitées nulle part sur les médias.
Mais l'interrogation la plus forte n'est pas dans ces questions mais dans: " Mais d'où vient ce pognon ?".
Nous, évidemment connaissons depuis longtemps Jacques Duboin et surtout ayant un cerveau néfaste
et trublionnesque, on connait la réponse mais quand nous y répondons, comme nous ne sommes pas
agréé et estampillés "diplômé de la fac de..." mais seulement estampillée intelligence de la rue, on se
rit de nous au mieux ou carrémént on nous accuse de terrorisme.
Et c'est là qu'arrive le miracle, c'est là aussi où je reviens à notre Artus et france inter : après avoir
dit plein de trucs habituellemnts entendus il se trouve qu'on se met à causer de la crise des "prêts subprime".
M. Artus explique donc le comment et le pourquoi les peuples européens, représentés par leur banques
centrales, ont si vite donné,
je dis bien donné, de l'argent en masse aux banques. Alors, un auditeur pose la grande question qui
invraisembleblement n’ était venue à l'esprit( ?) d'aucuns journaliste de poser ni à aucun politicien
non plus, "Mais d'où qu'il vient cet argent ?" demande le pauvre auditeur, un peu perdu on le comprend,
car quand il pense au soi-disant problème des retraites ou du "trou de la sécu" il y a de quoi être
déboussolé. "Mais enfin, mon bon, au Moyen-âge l'Etat imprimait la tune, aujourd'hui on la transfère par
jeux d'écritures" c'est juste une ligne d'écritures à faire, un compte d'une
banque est déficitaire à la Banque de France et bien on lui en donne,
c'est tout simple"
Merci M. Artus d'avoir enfin dit une si jolie vérité. Moi si vous le permettez je vais traduire "
Mais vous êtiez esclaves et aujourd'hui, en plus vous êtes des cons, et voilà."
bien sûr cette emission est podcastable sur france inter à la date
d'aujourd'hui, peutêtre dés demain je ne sais pas
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Bonne réception,
Ange . Las dos SarkosMerquelitos/les amiEs du négatif à l'oeuvre (correspondant)