Un petit relent nauséeux souffle sur les TAZ...
Le chef aux ciseaux d'or et sa valetaille, ne supportant pas l'arrogance de notre départ (et encore moins les récriminations qui lui étaient faites puisqu'il les a lui même ôtées), concentrent leur tir de barrage en ressortant nos anciens articles (et, en l'occurrence, l'un des miens)...
Articles que, selon eux, nous aurions « censurés » en les retirant des TAZ lors de notre départ... alors qu'ils sont consultables ici, où sur nos blogs respectifs, voir sur d'autres sites qui les ont allègrement repris, celui dont il est question aussi... Ceci dit en passant : Quelle censure !...
D'après eux, nous n'avions pas le droit de quitter les TAZ, et encore moins de claquer la porte sur un désaccord qui nous semblait important et auquel on nous refusait, par la censure justement, tout droit de réponse...
On nous coupe mais notre présence sur les TAZ doit rester à jamais indélébile... Sinon, si nous supprimons notre compte, et les articles automatiquement, par là même, que nous avions postés et créés, nous serions des censeurs !
Nous devrions donc soutenir sans faille, même si la position tenue nous semble intolérable, où mourir !
-"((Rien n'est à toi, non, tu ne vaux pas un seul centime, tout appartient à la société anonyme...))"
Et qu'importe si le ridicule du propos est contredit par la réalité du net ! Non ! On nous reproche nos "jeux de bac à sable" qui firent pourtant majoritairement les lettres de ces TAZ pendant presque deux ans, mais il faut croire que le dit "bac à sable" était propriété privée et que, dès lors, tout ce que nous apportions avec nous deviendrait de facto propriété exclusive du possesseur du bac ! Et que le jeu et ses règles lui sont seulEs, réservéEs par conséquent, de la conservation, de la publication ou même de leur supression... !
Ainsi, déjà, les Amis du Négatif auraient eu l'outrecuidance de supprimer leurs articles... la belle affaire, puisque les articles en question sont et ont toujours été consultables ici... Mais maintenant, nous, qui avons osé remettre en question la décision inique du « chef des TAZ » et de le lui faire observer, entrainant ainsi les foudres des ciseau xvengeurs, rejoignons, dans son esprit, les Amis au pinacle des raclures...
Soit, mon cher, nous prendrons donc les dénominations que tu nous colleras avec profondément de plaisir, puisqu'elle proviennent d'un dévoiement certain de l'esprit communautaire que tu n'auras pas voulu respecter en éjectant unilatéralement les Amis des TAZ sans t'en ouvrir à la dite communauté et que tu as su, dans un grand respect de l'œuvre d'Hackim Bey, détourner de son sens l'esprit même d'une TAZ...
Notre départ te déplait-il? Pas grave, tu as su montrer ce qu'était, pour toi, l'esprit communautaire ! Puisque les TAZ sont ton oeuvre, et puisqu'une TAZ ne saurait, dans sa définition, être autre que temporaire, nous te les laissons !
Et si, comme seul meublement, tu ne trouves rien d'autre que de ressortir nos vieux articles pour tenter de nous discréditer, si c'est là ton seul plaisir, fais donc ! Nous nous honorons de les avoir publiés et disposés même à les soutenir à la ponctuation près!
Pour ma part, je n'ai pas honte de ce que j'ai pu écrire puisque, comme je le disais en tannant les silencieux nombreux et majoritaires des TAZ, qui aujourd'hui se réveillent fort singulièrement et opportunément comme arrachéEs au tombeau, (Il y aurait des miracles en Haïti savament et médiatiquement programmés, -deux par jour en moyenne!- sous les décombres des TAZ aussi vraisembablement!) nous n'avons pas la science infuse et ne sommes pas exempts de nous tromper !
La preuve de cette faillibilité ? Nous avons cru aux TAZ comme un lieu de liberté alors qu'il s'avère que tel n'était pas le cas !
Et même si j'aurais pu en faire tout autant à ton encontre (tu n'es, malheureusement pas le seul à conserver quelques archives), je ne le ferai pas, te laissant le soin de t'éclabousser seul et de te rouler avec plaisir dans une telle fange ! Alors, s'il ne te reste, pour meubler, que la haine et la bile à déverser, soit ! Fais donc !
A cela, nous ne répondrons qu'avec notre profond mépris !
Quant aux raisons qui m'ont fait quitter les TAZ en supprimant mon nom et, donc, ce que j'y avais laissé sous ce nom, je laisse le soin à tous de les lire en réaction de l'article de Steph, un peu plus loin.
JOSHUADU34
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