Invitation à lire
Liste dédiée à l'Intifada ...
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"Nous sommes des marionnettes aux prises avec les rouages bien huilés
du système. La propagande est constante, évidente parfois, insidieuse
souvent. Même les "Faiseurs de Bien" [1] s'y laissent prendre. Ceux-là
peut-être plus que les autres. On nous inculque des valeurs humanistes
qui, si elles ne sont pas entièrement fausses ou mauvaises, reposent
sur des vérités partielles. Des vérités partielles engendrent un
mensonge global et une vision du monde erronée. Le dialogue avant
tout, pas de violence. La révolte justifiée des opprimés s'avance
masquée du mot-cauchemar « terrorisme ». Respectez les droits de
l'homme, après tout, les policiers et les dirigeants sont aussi (un
peu) humains...
Le système est extrêmement bien peaufiné. L'école, même si elle
apprend quelques trucs intéressants- encore heureux- est le premier
lieu de conditionnement (avec la famille). On apprend à l'enfants à
respecter un ordre des choses immuable : on lui apprend l'obéissance,
on lui apprend à respecter l'autorité, à ne pas se révolter, on lui
apprend que des gens (les « Grandes Personnes ») savent bien mieux que
lui ce qui est bon pour lui. Les dirigeants, patrons et autres matons
seront les « Grandes Personnes » des « Grandes Personnes », leurs
adultes référents.
On lui apprend des valeurs à respecter : la vie d'autrui, haïr les
dictatures. Mais on ne lui dit pas que cet ordre des choses est
totalitaire et ne respecte ni la vie, ni les gens. Qu'on se fait
exploiter, qu'on tue partout au nom du fric, que des gens croupissent
en taule toute leur vie pour n'avoir pas respecté l'ordre « moral ».
Qu'on nous contrôle, qu'on nous quadrille, que les flics et prisons se
font de plus en plus nombreux. Que le jour où ils s'en rendront compte
(s'ils s'en rendent compte), il sera peut-être trop tard.
Et par le formatage du petit être innocent qu'est l'enfant [2], on le
rend responsable et citoyen. Responsable de quoi ? De la pérennité du
système. Citoyen de quoi ? De la ville- entreprise, du monde-
supermarché. Vous en serez les cogestionnaires actifs et heureux.
La fête est partout dans cet Eden consumériste, ce pays de cocagne.
Paillettes et lampiottes dans les nouveaux quartiers branchés. On
aseptise, on isole. Et on recouvre tout d'un joli verni fleuri. Puis,
ce que le divertissement n'a pas conquis, on le termine à la matraque
et aux menottes. Si l'Etat aime se faire passer pour bienveillant et
paternaliste, il n'en oublie pas son bon vieux rôle répressif.
Mais la roue tourne et parfois le vent se lève. Espérons ici qu'il
sera le germe d'une tempête. Que les hommes, de moutons se
transforment en loups et que dans ce monde soi-disant pacifié, les
bergers se fassent trucider.
Rien n'arrête la volonté de briser ses chaînes, car elles ne sont
faites que d'ombres et de lumières, des chaînes en papier mâché pour
qui prend la peine de les regarder.
Regardez-vous vous-mêmes et votre monde pourri, ouvrez les yeux, levez
le poing, arme à la main.
Rien n'a changé mais tout commence
Et va mûrir dans la violence.
Salutations anarchi -stes, -ques
De quelqu'une qui vous veut du bien."
--------------------------------------------------------------------------------
[1] Les GR : les Gentils Réformistes, amateurs d'ONG, qui votent écolo
et mangent Bio...
[2] Comme si l'innocence avait un sens
Le 01/08/07, Sarah M <minedm...@gmail.com> a écrit :
Salut Stephk!
Il est toujours bien agréable de recevoir un de tes mails. Ne
t'inquiète pas, ce n'est jamais trop long quand c'est intéressant.
Et oui, sans doute pas assez de polémique sur cette question de fond
du misérabilisme révolutionnaire, du défaitisme généralisé.
Moi même, je n'y avais pas particulièrement pensé avant de lire ta
virulente réponse. Mais une virulence intelligente fait plaisir et je
préfère ça à un accord passif. Coincés entre les ONG, les réformistes
et autres altermondialistes et les révolutionnaires qui n'y croient
déjà presque plus, que faire?
Le spectacle endort les esprits, comme tu le disais si bien toi-même.
Tout comme Marx n'avait pas prévu que le capitalisme, au lieu
d'augmenter les tensions entre classes, les annihile, les fait
oublier; Debord (ou Gunther Anders, selon les adeptes) n'avait pas
prévu (me tromperais-je?) que le spectacle endormirait nos companeros
de lucha.
A propos de lucha, je me permets une petite disgression: j'ai adopté
un nouveau chien que j'ai trouvé à Grenade, à Sacramento. Je l'ai
appelée Anda Lucha... Le jeu de mot me plaisait (je ne sais pas si tu
as quelques connaissances en espagnol).
Si mes errances me mèneront sur la côte ouest? Il est bien dommage
qu'on ne se soit rencontrés plus tôt parce que c'est par là que nous
sommes passés pour aller en Espagne. Mais pas de regrets, le groupe
avec lequel j'étais alors était un peu trop "dynamique" pour vouloir
passer quelques jours à la campagne, à lire, discuter et autres.
Je rentre en Belgique en vitesse parce que j'ai des examens de
passage. Pas que je croie beaucoup en ce diplôme, mais il est agréable
de se dire qu'on a pas erré 5 ans à "l'unif" (expression belge: la
fac) pour rien. Bien que rien sera le résultat puisque l'année
prochaine je me contenterai de suivre les cours qui m'intéressent sans
me contraindre à aller ou même à étudier ceux qui me paraissent
inutile, voire nuisibles.
Par contre, dès que j'ai terminé ces petites formalités, je repars en
errance pour quelques temps, parce qu'il y a quelques endroits où je
n'ai pas eu le temps d'aller ce mois-ci. Rendre visite à quelques amis
dans un village "autonome" (parce que rien n'est vraiment autonome par
les temps qui courent), à Frayssinus, au dessus de Perpignan (mais je
ne suis pas très douée en géographie française alors je ne suis pas
sûre). Et je pourrais aussi vous rendre visite à toi et Edith. Cela me
plairait. La seule condition est que vous supportiez les chiens...
Bref, je t'ai moi aussi envoyée une longue réponse.
J'attends la suite.
Salutations subversives.
(t'as pas une idée d'une autre manière de se saluer?)
L'ancien secrétaire d'état au Trésor de Reagan redoute une dérive autoritaire de l'administration Bush qui planifierait une opération contre l'Iran. Avec l'échéance des élections se rapprochant, Roberts pense que Bush et Cheney vont se lancer dans une fuite en avant pour tenter de provoquer un réflexe patriotique qui rassemblerait autour d'eux l'opinion américaine.
Par Novosti, 20 juillet 2007
Le républicain Paul Craig Roberts, ancien sous-secrétaire aux Finances de l'administration Reagan, a expliqué que George W. Bush avait élaboré les bases juridiques permettant d'instaurer l'état d'urgence et que d'ici un an, les Etats-Unis pourraient devenir un Etat policier dictatorial, en guerre contre l'Iran.
Il a déclaré que dans une telle situation, les militaires américains pourraient constituer l'unique force d'opposition.
"Il est possible qu'ils (les militaires) en aient assez et qu'ils n'aient plus envie de se soumettre", a-t-il ajouté lors d'une interview à la radio, retransmise simultanément jeudi sur les ondes de plus de 50 stations américaines.
M. Roberts a fait ces déclarations particulièrement inhabituelles à la suite de la signature mardi par le président américain d'une ordonnance spéciale, autorisant le ministre américain des Finances, après consultation du chef du Pentagone et du secrétaire d'Etat américain, à arrêter n'importe quelle personne et à confisquer ses biens sur le territoire américain, si elle "présente une menace pour la stabilisation en Irak".
"Il s'agit du pouvoir total et absolu d'un seul homme", a noté l'ancien membre de l'administration Reagan, soulignant que l'ordonnance du président Bush n'était pas passée devant le Congrès américain et laissait les mains libres au président des Etats-Unis.
"Le peuple américain ne comprend pas le danger auquel il est confronté", a-t-il poursuivi.
Il a mis en garde contre l'administration Bush qui selon lui prépare quelque chose, afin d'effrayer le pays et réunir la population autour des républicains, qui dans le cas contraire pourraient perdre totalement le pouvoir lors des élections l'année prochaine.
"Quelque chose se prépare", affirme Paul Craig Roberts.
"Des membres de l'administration Bush et d'éminents propagandistes républicains préparent un nouvel événement dans la lignée du 11 septembre 2001 ou bien une série d'événements de ce type", a-t-il averti.
"Si ce n'est pas Al Qaïda qui le fait, il s'agira d'une mise en scène", a-t-il garanti.
L'interview radio de l'ancien sous-secrétaire aux Finances a eu lieu après la publication cette semaine d'articles dans lesquels il mettait en garde contre George W. Bush et le vice-président américain Richard Cheney, affirmant qu'ils préparaient le terrain pour détourner l'attention de la population des déconvenues de leur administration en Irak, et pour préparer une attaque contre l'Iran.
"L'administration Bush a absolument besoin d'événements dramatiques pour effrayer les Américains et forcer le Congrès à accepter l'Etat militaire et policier, dont George W. Bush et Richard Cheney tissent les mailles", pouvait-on lire dans un article de Paul Craig Roberts, prévoyant que d'ici un an, "les Etats-Unis pourraient être un Etat policier dictatorial, en guerre contre l'Iran".
"George W. Bush a préparé toutes les mesures nécessaires pour mettre en place une dictature sous forme "d'ordonnances présidentielles", qui entreront en vigueur au moment où il jugera nécessaire d'instaurer l'état d'urgence. Les récentes déclarations du ministre américain de la Sécurité intérieure, Michael Chertoff, du sénateur républicain Rick Santorum et d'autres personnalités montrent que dans un avenir proche, les Américains pourraient s'attendre à une série de fausses opérations terroristes, soutient l'ancien sous-secrétaire aux Finances.
Il a en outre noté que l'administration Bush avait l'intention de se sauver de sa situation impopulaire par l'intermédiaire de fausses opérations, qui pourraient être utilisées pour propager une guerre en Iran.
La Maison Blanche, le département d'Etat des Etats-Unis et le Pentagone n'ont pas encore commenté les déclarations fort peu habituelles de Paul Craig Roberts.
M. Roberts qui a été sous-secrétaire américain au Trésor de 1981 à 1982 est considéré aux Etats-Unis comme le père de la reaganomie, politique économique menée par Ronald Reagan, alliant la liberté de marché et une politique économique conservatrice. Paul Craig Roberts a reçu une récompense spéciale du ministère américain des Finances ainsi que la Légion d'honneur, remise par le gouvernement français.
Sur le même sujet :
L'entretien radio-diffusé de Paul Craig Roberts avec Thomas Hartmann.
L'« executive order » Blocking Property of Certain Persons Who Threaten Stabilization Efforts in Iraq , signé par le président Bush.
Empeach Now par Paul Craig Roberts.
« Si le congrès ne destitue pas Bush immédiatement, dans un an les USA pourraient être un état policier en guerre avec l'Iran. »
Tonkin Gulf II and the Guns of August ? par Patrick J. Buchanan
Buchanan, un Républicain, ancien conseiller auprès de Nixon, Ford et Reagan, évoque la possibilité d'un incident naval du type de celui du Golfe du Tonkin pouvant provoquer le déclenchement d'une attaque de l'Iran.
En 1964, l'annonce - avérée fausse ultèrieurement - d'une attaque de vedettes lance torpilles nord-vietnamiennes contre des navires US a servi de prétexte à l'entrée en guerre des USA au Vietnam.
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Le militant UMP Arno Klarsfeld en uniforme de Tsahal
L'homme est pressenti pour la VIIIème circonscription de Paris en 2007, il pourra échanger des propos humanistes avec son collègue député Jean Louis Bruguière.
C'est habile de la part de nos démagogues modernes d'avoir su récupérer les ambitions personnelles des petits fils de la Shoah acquis aux vertus du nationalisme et du capitalisme sauvage. Ce vendredi est noir car il dévoile les vrais visages de ceux qui ont prétendu durant des années être de "gauche" au service des intérêts des plus faibles. Allègre, Tapie, Gallo, Besson, Attali, tous se précipitent pour grappiller un peu de la manne, peu soucieux des déclarations du président qui, il y a quelques semaines à peine, lançait encore des appels de haine à Toulon en rappelant que la France n'était pas destinée à accueillir des égorgeurs de mouton en baignoire, où encore qu'il était temps de "liquider" l'héritage de 1968... Ils avaleraient des boas pour avoir encore le droit d'être encore à l'antenne, de participer aux garden parties et de publier des best sellers chez des éditeurs contrôlés par les marchands d'armes. Rien de neuf sous le ciel. En 1981, le Tonton de l' Elysée menait des opérations coup de poing à la Goutte d'Or à peine un mois après son élection ( Pierre Joxe). Il travaillait déjà le bon peuple de France dans le sens du poil. Nous avions élu un ancien fasciste décoré de l'ordre de la Francisque, lavé de tout soupçon de collaboration en vertu des services rendus à la République en 1945 lors des révoltes de Sétif. Pour mémoire, celles-ci avaient été organisées par d'anciens résistants et soldats maghrébins rentrés au bled et quelque peu irrités de retrouver l'ordre colonial intact. Des familles de "vrais Français" avaient alors été sauvagement assassinées. Environ 200 victimes. Et la jeune Grenouille aux dents longues avait été personnellement chargée par le Général de Gaulle de faire le sale boulot. Une répression féroce, 30 000 morts chez les villageois de la montagne, (Sétif et Guelma, 45 000morts au total : "-L'indépendance? C'est la Guerre;" F.Mitterand. NDLC de N.I) bombardés par les canons longue portée de la flotte française, une boucherie de" bougnoules" pour faire en sorte que M. François Mitterrand devienne un homme de gauche irréprochable...(En dépit des ses notoires amities pour les "ronron et petits Papon et autres Bousquets, croix de fer, etc...NDLC de N.I)
Existerait-il donc une « race des seigneurs » en France et en Europe ?
Pendant que les « lois Sarkozy » passent au Parlement, qu'il s'agisse l'Assemblée Nationale ou du Sénat, comme des lettres à la poste à une vitesse telle qu'il paraît matériellement impossible que les élus aient pu procéder à un réel examen des textes, la presse nous distrait avec des articles sur l'affaire des quelques démissions du cabinet de la Garde des Sceaux Rachida Dati, ou encore sur les problèmes judiciaires de deux de ses frères. L'occasion pour Cécilia Sarkozy de déclarer d'après le Nouvel Observateur :
« Rachida c'est plus qu'une amie, c'est ma soeur. Je ne la lâcherai jamais. Je connais tout d'elle, et je l'aime profondément ». Elle est de la race des seigneurs. Quand je n'étais pas forcément à la mode - vous voyez ce que je veux dire -, elle a été proche de moi. A tous les moments de ma vie. Elle m'envoyait de longs messages. Des messages d'amour. C'est d'elle que sont venues les plus jolies choses qu'on m'ait jamais dites. »
Après le baratin de campagne électorale du Parti Socialiste sur la « France métisse », comme s'il existait des races humaines, on nous sert à présent la « petite phrase » sur la « race des seigneurs », émanant de la conjointe du Président de la République Française, que ce dernier charge déjà de missions d'une certaine notoriété et que le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant a qualifié de « meilleur messager » du nouveau président. Guéant a ajouté : « Elle sera utile là où elle pense qu'elle peut être utile »). Les déclarations de Cécilia Sarkozy rencontrent d'ailleurs un grand écho dans les médias.
J'ai attendu, depuis la diffusion de l'article du Nouvel Observateur, pour voir si des réactions de « personnalités politiques » aux déclarations de Cécilia Sarkozy apparaissaient dans les actualités. Rien, sauf méprise de ma part. Pourtant, personnellement, je trouve cette phrase très choquante, quelle que soit la lecture qu'on puisse tenter d'en faire.
Dans la moins mauvaise des hypothèses, et même si la phrase n'est pas nouvelle et a été le titre d'un film en 1973, elle signifierait qu'il est des gens dont la nature serait d'être des « seigneurs ». Curieuse conception « républicaine ».
A fortiori, compte tenu du fait que Nicolas Sarkozy a érigé ce 14 juillet en « fête de l'Europe », et que l'Europe est bourrée de monarchies. A commencer par celles des pays voisins. Mais c'est vrai que, de toute façon, les milieux dirigeants français forment depuis longtemps une véritable caste contrôlant en cercle restreint tous les ressorts du pouvoir. Une accaparation « transversale » à laquelle participent toutes les coupoles politiques influentes, les actuels partis politiques étant devenus des montages de pure façade à usage électoral. Quant aux structures et plateformes européennes, elles dépassent en opacité et verrouillage leurs équivalentes françaises.
De ço qui calt ?
quicalt@yahoo.fr
http://blog.360.yahoo.com/quicalt
'A quand le coup de grace? (NDLC des "AmiEs du Négatif. à l'Oeuvre..")
http://groups.google.com/groups/paul-louis-courier?hl=fr http://groups.google.com/group/les-amis-du-negatif-a-loeuvre?hl=fr
le dimanche 15 juillet 2007 à 01h08 |
AVIGNON : ET PAN, DANS
j'ai trouvé ton texte et ton montage; je me suis délecté! aussi,
naturellement (peut-on parler de nature sur le net) j'ai voulu laisser
un commentaire. Vlan! censuré! trop de caractères invoquent-ils? Trop
de caractères ou de caractère?! Depuis quan les commentaires sont-ils limités à 1000 signes ?
Bref,le titre était :"j'y suis, le prince ne paie plus et le texte que
j'ai sauvé/copié suit:
Les souffleurs puent de la trappe, les couturières cicatrisent mal,
les maquilleurs maquignonnés sont fardés, les
accessohttp://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=83897#avertissement
AVERTISSEMENT iristes obsolètes sont en rût à Baga, le rimel dégouline
sur les larfeuilles convoités, les "tire ficelles" font la manche, la
cul-ture se torche en représentations, les pauvres disent "c'est
combien?", les agents portent des masques!
Cher R.I, quelle éloquence ne voyons-nous pas là! Tout y est, même le
turban des Ben barbus...et un peu de plexis casqué au cas où...Rien à
craindre Off et In, puisqu'on vous le dit! Of et Off,ça rôte comme si
vous y etiez! Mettez vous en jusque là, nous? On peut pas! on n'en
veux pas! Une sorte de Félini Bolognaise interminable avec
décollettés gras où vous plongez jusqu'aux bras, sous les aisselles
aseptisées des courtisanes de circonstances empuanties au " vous l'
valez bien" ...Les slips de roquets cabotins contiennent difficilement
de vieilles breloques chauves et molles! ici on bredouille du Brecht
et là on baragouine vaguement du Molière, quelques autres sots
anonnent piteusement du Desproges qu'ils citent comme un mauvais
Shaekespeare, en y comprenant rien...Tel autre sur un banc attend
depuis plusieurs jours un quelconque ministre de la culture tandis que
sa femme à barbe se rase le minou!
Tout y est! ils le valent bien! l'Or est réal, mais il faut creuser à temps!
Excellente intervention, cher R.I, il est près de trois plombes du
mat' maintenant, merci pour la dérive, mais là je vais me pieuter...
Pour le coup: très amicalement: Un ami du négatif te salue!
__________________________
Voila voici donc, cette fois je vais me pieuter...
SK.
--
nosotros.incontrolados/les amis du négatif à l'oeuvre.
http://nostros.incontrolados.over-blog.com
AVIGNON/ UNE BONNE PETITE CLAQUE DANS
Suite par Ramdane I.
AVIGNON 2007 : LE FESTIVAL EN FORME ?
QUELQUES REFLEXIONS SUR LE SENS DE
QUELQUES REFLEXIONS SUR LE SENS DE
Certains se demandent s'il faut encore créer et jouer pour ces parterres de nantis qui profitent du spectacle des affamés de l'Art en rotant leur banquet.
Molière, Shakespeare, Genet,
ALORS METTONS EN SCENE NOTRE CRITIQUE. Comédiens, saltimbanques, auteurs faméliques, au lieu de faire grève, interpelez soudain le public, en plein coeur du rêve où vous les avez plongés... Donnez au
TO BE OR NOT TO BE, tout son sens de révolte.
|
Les cloportes computerisés de
http://rushes.yi.org
le dimanche 15 juillet 2007 à 13h05 | thèmes : Contrôle social |
2 commentaires à propos de cet article :
http://groups.google.com/groups/paul-louis-courier?hl=fr http://groups.google.com/group/les-amis-du-negatif-a-loeuvre?hl=fr
Vous voilà enfin réunis en France sans que l’on sache si l’on doit s’en réjouir ou le déplorer.
La démonstration est faite qu’il vous faut une terre étrangère pour vous parler, comme si le salut ne peut venir que de l’extérieur. Comme si vous ignorez que l’extérieur fait partie de vos problèmes et non de la solution de vos problèmes.
L’Histoire en est témoin : Le premier dialogue a été noué à Lausanne (Suisse), en 1984, le deuxième à Taëf (Arabie saoudite), en 1989, et le troisième maintenant à Paris. Des dates qui retentissent pour bon nombre d’entre vous comme des reniements.
Paris, précisément, comme si vous vouliez apporter la preuve que vous êtes demeurés, soixante ans après l’indépendance, d’éternels mineurs, vous, grands seigneurs du Liban chatouilleux sur vos prérogatives et vos passe-droits, d’éternels mineurs, objet d’une tutelle permanente. Un comble. Sinon comment expliqueriez vous cette rencontre sous les auspices de votre ancien tuteur, sans doute à l’origine de nombre de vos maux, en taillant ce petit pays à sa mesure ?
Vous l’avez constaté sans doute à vos dépens, même si vous en êtes -pour combien de temps encore ? - les principaux bénéficiaires. Unique pays au monde se revendiquant de la laïcité, la France a été le premier pays, historiquement, à institutionnaliser et à instrumentaliser le communautarisme dans son protectorat libanais .......en visionnaire,........en lointain précurseur de la communautarisation générale de la vie publique du Moyen-Orient.
Certains d’entre vous portent les espoirs de l’Occident. Vous en êtes la lumière, alors que vos adversaires sont jetés dans l’opprobre, rejetés dans l’ombre quand bien même ils auront lavé l’honneur militaire arabe, et écrit, en lettres de sang, certains des faits d’armes les plus glorieux de l’histoire arabe récente. Passons. Au Liban, nous ne sommes pas à une contradiction près.
Ainsi donc vous passez pour les fiers défenseurs de la démocratie, de l’indépendance et de la souveraineté du Liban, redevenu sous votre égide un havre de la chrétienté d’Orient, face à la barbarie terroriste et islamiste.
Soit. Mais alors comment expliquer que deux d’entre vous, désormais à la pointe du combat anti-syrien -MM. Saad Hariri et Walid Joumblatt- aient été les principaux bénéficiaires de l’affairisme libanais sous tutelle syrienne.
Comment expliquer que M.Amine Gemayel, en pointe du combat pour l’indépendance du Liban, soit passé par les fourches caudines de l’armée israélienne pour accéder à la magistrature suprême, en récidiviste familial, suivant en cela l’exemple de son cadet, Bachir.
Comment expliquer que M. Samir Geagea, en pointe pour la consolidation d’un foyer chrétien au Liban, passe, à tort ou à raison, pour avoir été l‘un des principaux fossoyeurs du leadership chrétien libanais, que cela soit par ses raids contre le fief de la famille Frangieh, à Ehden, contre les milices chamouniennes du Parti National Libéral ou enfin contre l’autorité du premier ministre intérimaire de l’époque, le Général Michel Aoun.
Curieuse façon de confier à des féodaux la défense de la démocratie, Curieuse façon de confier à ceux qui seraient - n’était-ce l’amnistie amnésiante- des « criminels de guerre » le soin de pacifier le pays, de rétablir la concorde nationale et de faire régner une justice impartiale au bénéfice de tous.
Curieuse façon de prendre exemple sur la France, elle, dont les gazettes bruissent de ténébreuses affaires sur une instrumentalisation de la justice à des fins partisanes, comme ce fut le cas dans l’Affaire Mehdi Ben Barka, non résolue quarante après sa survenance, dans l’affaire du juge Bernard Borel ou encore dans l’affaire Clearstream. Passons. Il est admis, qu’à propos du Liban et des dirigeants Libanais, nous ne sommes pas à une contradiction près.
Lamentable est votre incapacité au dialogue et indigne le spectacle de l’étalage de vos divisions.... comme une parfaite illustration de votre absence de considération pour un pays que vous avez allégrement sinistré, et, pour un peuple que vous avez considérablement démuni par vos querelles incessantes.
Inamovibles responsables du destin du Liban, votre singulière conception du politique explique pour une large part votre incapacité de proposer une réelle perspective de sortie de crise, au mépris de l’intérêt général du pays. C’est bien là, une preuve supplémentaire, du peu de cas que vous faites des véritables préoccupations d’une large partie de notre peuple, notamment la fraction la plus démunie, la plus désemparée.
Que la diplomatie française tente de suppléer vos carences ne vous exonère en rien de vos responsabilités. Son implication répond d’abord à son souci de préserver ses intérêts de puissance, c’est-à-dire à préserver l’un de ses rares points d’ancrage qui lui subsiste dans le monde arabe, en visant au premier chef à atténuer le caractère abusivement personnalisé des relations d’Etat sous la précédente magistrature.
Son hospitalité n’est pas fortuite. En filigrane de la réunion de Saint Cloud se profile l’élection présidentielle de 2007, dans sa version libanaise, avec notamment la volonté des grands électeurs que vous avez habitués à décider de votre sort, à peser sur le choix final.
En 1958, au sortir de la première guerre civile libanaise, à l’ombre des marines américains, le Général Fouad Chéhab, a été porté à la magistrature suprême. En 1982, ce fut au tour des deux frères Gemayel, Bachir et Amine, record familial mondial absolu, d’y accéder à l’ombre des blindés israéliens. En 1989, avec a guerre contre l’Irak, ce fut au tour d’Elias Hraoui, puis d’Emile Lahoud, d’y accéder sous l’ombrelle syrienne.
Quid de l’édition 2007 ? Une remake de 1982 avec l’investiture du successeur de Bachir Gemayel, sa copie conforme, le chef milicien Samir Geagea, avec le soutien du couple franco-américain ou le Général Michel Aoun, dans la lignée militaire du Général Fouad Chehab ?
Les tentatives visant à impliquer la France dans les conflits inter-libanais, c’est-à-dire à en faire l’alliée d’un camp au détriment de l’autre, pourraient être contre-productif tant pour la France que pour le Liban, car -l’expérience l’enseigne- elles placeraient le pays hôte en opposition frontale avec l’un des protagonistes libanais, en contradiction avec son objectif recherché.
La démocratie ne se préserve pas à coups de faux semblants et de faux fuyants et le sort funeste réservé aux comparses irakiens Ahmad Chalabi et Iyad Allaoui de l’aventure américaine en Irak, devrait vous inciter à de salutaires méditations sur les sources intellectuelles de la conviction et la pérennité des amitiés en politique.
Le propos est d’expérience et témoigne de la fiabilité du discours occidental. Qui se souvient encore que, sous couvert de « lutte contre le terrorisme », l’actuel premier ministre libanais Fouad Siniora et le chef druze Walid Joumblatt, avant son retournement et son ralliement au camp américain, ont été interdits de séjour aux Etats-Unis pour avoir critiqué l’intervention américaine en Irak et contribué à des œuvres caritatives chiites. Les voilà, trois ans plus tard, objet de tous les égards et promus au rang de défenseurs de la démocratie et de la modernité. N’est dupe que celui qui veut bien l’être.
Au-delà de la réunion de Saint Cloud, il vous incombera de prendre la mesure de l’impérieuse nécessité d’un changement profond touchant toutes les sphères de la vie politique nationale, à commencer par la refonte de l’Etat, la redéfinition des missions stratégiques de l’armée nationale, longtemps confinée à un rôle répressif de super-gendarme, et son articulation avec la Résistance nationale, dont les faits d’armes ont valu au Liban et aux Libanais prestige et considération dans de larges fractions de l’opinion occidentale et dans l’ensemble du tiers-monde.
Tout autre comportement serait indigne du Liban. Indigne des sacrifices qu’il a consentis pour demeurer à l’avant-garde du combat pour la satisfaction des aspirations légitimes du monde arabe, à l’avant garde du combat pour la maturité démocratique arabe.
Cette lettre vous est adressée le 12 juillet 2007 qui marque le premier anniversaire de la guerre déclenchée par Israël contre le Liban et des bouleversements psychologiques et stratégiques qui se sont ensuivis avec le revers militaire israélien. Plutôt que de vous épuiser dans une nouvelle guerre de religion (chrétiens/musulmans, sunnites/chiites), avec en toile de fonds le désarmement des milices, vous seriez plus avisés de consacrer votre énergie à obtenir condamnation d’Israël pour sa violation du droit humanitaire international, à obtenir réparation des dommages infligés au Liban par l’usage des armes prohibés.
Il nous paraît curieux que ce point soit absent du débat public libanais, signe d’une certaine amnésie ou d’une certaine connivence ?
Non à la division des Libanais, Non à un candidat de la division
Dans un souci de concorde nationale, nous récusons d’avance tout candidat à la magistrature suprême dont les mains sont souillées du sang de libanais, tout candidat dont la fortune s’est constituée des rapines de la guerre. Il ne saurait y avoir de prime à la forfaiture sous couvert d’Unité nationale.
Solidaires de la souffrance des Libanais et de l’injustice qu’ils subissent, nous condamnons vivement l’assassinat du premier ministre Rafic Hariri, avec la même vigueur que nous condamnons l’assassinat du premier ministre Rachid Karamé, l’assassinat du chef druze du parti socialiste Kamal Joumblatt, comme celui du dirigeant communiste Georges Hawi, comme celui du dirigeant milicien Dany Chamoun ou du dirigeant nationaliste arabe Maarouf Saad.
Nous condamnons également avec la même vigueur l’assassinat du journaliste Gébrane Tuéni et de Samir Kassir avec la même vigueur que celle de Nassib Metni, celle du député Pierre Gemayel avec la même vigueur que celle du député Tony Frangieh, décapité avec l’ensemble de sa famille, dans son fief du Nord Liban chrétien.
Nous condamnons la disparition des 18.000 personnes anonymes et innocentes du conflit inter-libanais et déclarons notre solidarité avec les familles des 200.00 victimes et 1,5 millions blessées ou handicapées de même que tous les suppliciés de Damour, Cana, Sabra-Chatila et Tall-Zaatar.
Il ne saurait y avoir une hiérarchie dans la mort, de la même manière qu’il ne saurait y avoir d’appréciation positive ou négative des victimes sur le seul critère de leur proximité avec l’Occident ou l’Orient.
Nous rejetons donc énergiquement tout facteur de division, tout candidat de division quelque soit le soutien dont il bénéficie tant des protagonistes sur le terrain que de leurs parrains respectifs.
L’effort français ne doit pas dispenser les Libanais à faire preuve de maturité politique en songeant à se dégager, dans les meilleurs délais, ne serait-ce que pour les générations futures, de la tutelle de fait qui leur est imposée de part et d’autre, en vue de s’insérer sans retard, en tant qu’acteur principal, au cœur du processus historique de reconstruction du Liban en rapport avec son environnement arabe.
Paris, 12 juillet 2007
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Dans l’ordre alphabétique
Ameen Alsayeg Khadija - Bahrain
Assaf Georges, directeur commercial - Liban
Assaf Jaber Solange, secrétaire comptable - Liban
Assaf Mylène - Liban
Atallah Salim, secretary and information officer - Liban
Attoui Alin, industriel - Tanzanie
Attoui Amal, galériste - Côte d’Ivoire
Awad Miguel, ingenieur - USA
Awad Thérèse, - USA
Berbery Michel, conseiller commercialisation - Canada
Bizri Hala, bibliothécaire - Liban
Chaitou Saïd Sami, négociant international - France
Chammah Sahyoun Christiane, éducatrice spécialisée - Liban
Charara Rima, assistante en relations extérieures - Sénégal
Charif Dima, journaliste - Liban
Debs Marie, enseignante - Liban
El Cheikh Jean, médecin hématologie et transplantation - France
El Eid Amine, médecin - France
El Yafi Ghada, médecin hématologue - France
Farhat Dyana - Liban
Frayfer Jamil, médecin - France
Freifer Nadimé, employée territorial - France
Ghanem Charbel, architecte et chef de projet - France
Hadadah Ali, doctorant en économie de l’environnement - France
Haroun Ziad Noel, étudiant - Liban
Karam Charbel, fashiondesigner - Liban
Khalaf Hassan - Tanzanie
Khayat Sabri, syndicaliste - Canada
Khazma Omar - Liban
Koubaissi Zeinab, social worker - Sweden
Mortada Wael - Liban
Naba René, journaliste écrivain - France
Rez Issam - France
Richa Raoul, enseignant - France
Richa Raymond, ingénieur - France
Richa Roland, sociologue - France
Sabbah Hussein, ingénieur - France
Safieldine Lamia, chorégraphe - France
Shilik Marcelle - Liban
Stephan Maud, professeur - Liban
Tabbal Bruno - Liban
Younnes Fouad - Liban
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Rencontre interlibanaise du 14 au 16 juillet à La Celle-Saint-Cloud
Une rencontre "informelle" interlibanaise se tiendra les 14, 15 et 16 juillet au château de La Celle-Saint-Cloud (Yvelines) à l’initiative de la France, a annoncé vendredi 05 juillet, la porte-parole du Quai d’Orsay.
Cette rencontre débutera le 14 juillet à 15h30 et sera clôturée le lundi 16 juillet à 10h par une conférence de presse du chef de la diplomatie française Bernard Kouchner, "meneur des débats", a précisé Pascale Andréani à la presse.
La réunion rassemblera des représentants des forces politiques associées au dialogue national libanais ainsi que de la société civile, a-t-elle expliqué sans fournir la liste des participants ni le nombre des personnes attendues.
La porte-parole a simplement indiqué que la rencontre, dont la préparation a donné lieu à des déplacements de l’émissaire français Jean-Claude Cousseran au Liban, compterait entre 30 et 40 participants. La présence du Hezbollah "ne pose pas problème", a-t-elle déclaré en réponse à une question. "C’est un acteur de la vie politique libanaise. Il est invité à ce titre".
Les débats sous l’impulsion de M. Kouchner seront "centrés sur le nécessaire renforcement de l’Etat libanais", a souligné Mme Andréani, insistant sur le fait qu’il ne s’agissait "ni d’une conférence régionale ou internationale ni d’une session de dialogue national" sur le modèle de celui initié en 2006.
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Le Hezbollah participera à la conférence interlibanaise en France malgré les critiques de Nicolas Sarkozy
Le Hezbollah participera ce week-end près de Paris à une conférence interlibanaise, bien que le président français Nicolas Sarkozy ait qualifié de "terroriste" cette organisation, ont annoncé mardi des responsables du Hezbollah.
M. Sarkozy a tenu ces propos lundi 09 juillet en recevant les familles de trois soldats israéliens enlevés par des groupes armés, dont deux par le Hezbollah l’été dernier. Ce mouvement n’a pas donné d’informations sur l’état de santé des deux soldats et on ignore même s’ils sont toujours en vie.
Les propos du président français ont quelque peu surpris dans la mesure où la France a invité le Hezbollah à participer à cette conférence qui doit rassembler 14 factions libanaises ce week-end. Il s’agira de la première fois depuis plusieurs mois qu’elles se rencontreront pour chercher des moyens de mettre fin à la crise politique qui secoue le Liban. La France entretient des liens étroits avec plusieurs factions et espère utiliser son influence pour relancer le dialogue.
Mohammed Fneish, un ancien ministre du Hezbollah qui représentera son organisation aux pourparlers, a confié à la télévision Al-Manar qu’il irait à Paris avec "un esprit ouvert pour discuter de toute proposition". Il a minimisé l’importance des remarques de M. Sarkozy.
"Les Français savent très bien par leurs contacts avec nous que nous sommes un mouvement de résistance", a-t-il dit à la télévision du Hezbollah.
Pascale Andreani, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, a fait savoir mardi que la France avait maintenu son invitation au Hezbollah, soulignant notamment qu’il s’agissait d’une force politique importante au Liban.
"L’objectif" est "que le Hezbollah renonce à l’action terroriste", avait déclaré lundi Nicolas Sarkozy, selon son porte-parole David Martinon. Alors qu’on lui demandait si le président avait qualifié le Hezbollah libanais de "terroriste" pendant cette entrevue, M. Martinon a répondu : "oui". "Il a complété en disant que son objectif était que le Hezbollah renonce à l’action terroriste et redevienne un parti politique presque comme un autre, qu’il joue le jeu de la démocratie parlementaire" libanaise.
La France organise ce week-end une rencontre "informelle" interlibanaise au château de La Celle-Saint-Cloud (Yvelines). La réunion rassemblera des représentants des forces politiques associées au dialogue national libanais ainsi que de la société civile.