Version 4:
"LA BLONDEUR SUEDOISE NE DISSUADE PLUS LES PIRES ET SINISTRES MALOTRUS QUI SOIENT"
CEUX ET CELLES QUI LES CONTEMPLENT
D’ABONDANCE SALIVENT ET S'ASTIQUENT!!!
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L'affaire de la jeune suédoise quant à elle est assez complexe, surtout si l'on tient compte de la conjoncture de ce pays.
Voici un type qui a le mauvais goût addictif de jouer au chauffeur de taxi, alors que ce gouvernement vient tout juste de reculer sur une mesure ultra libérale fort décriée qu'il entendait appliquer à la profession .
Ce type décidément joue de malchance et de connerie à la louche en s'en prenant à nos touristes, une espèce protégée, rackettée certes, mais nous apportant "bon an - mal an" son poids non négligeable en devises sonnantes et trébuchantes.
Enfin, touche finale insupportable portant atteinte au spécifisme hexagonal chauvin bien de chez nous, le "jean-foutre passablement taré » s'avoue une attirance irrépressible pour les blondes et contrarie ainsi une longue tradition dans laquelle, cahin-caha, les brunes et autres Carla tenaient jusqu'alors le haut du pavé à crapauds...
Il suffit de voir avec quels empressements les touristes se précipitent à Pigalle, en bus ou en taxi, tâter de nos jolies petites bretonnes et autres brésiliennes.
Voici donc un taxi qui allègrement et sans licence dépasse les bornes!
Il se moque ouvertement du gouvernement et des efforts considérables pour réhabiliter les brunes qui souffrent de quelque concurrence nordique:
Peste brune, Presse brune, politique brune, économie brune, connerie brune, et tout le toutim!
La jeune Suédoise ne s'attendait certes pas à rencontrer un tel échantillon d'incivisme antipatriotique en la personne de ce faux artisan.
Aurait-elle été brune que le crime de son agresseur en eût-il été moins odieux?
Non, car reste le coup d'oser perpétrer un si cruel forfait déguisé en chauffeur de taxi, ce qui constitue en soi (dans la conjoncture actuelle, rappelons-le ) une circonstance particulièrement aggravante et impardonnable: un camouflet, un affront sans précédent.
Le Résident de la "Raie Publique" à proposé à la famille de la victime de s'acquitter personnellement du montant de la course après exonération de la TVA.
Pouvait-il faire moins à partir de la lointaine Tunisie, pays de libertés innombrables où abondent les brunes?
Quant à nous, les questions qui s’imposent sont nombreuses et témoignent du caractère ahurissant de ce nouveau « putsch » sordide et médiatico-misérabiliste qui s’invite une fois encore à la « table qui recule » du vulgum pecus de plus en plus poussé à la pire barbarie, sinon comme acteur, comme spectateur…
Au-delà de la question visible nous présentant le bonhomme comme « le coupable idéal »(Trop idéal même) subsistent quand même pas mal d’invraisemblances pour le moment plutôt invérifiables…Un peu fastoches. Trop évidentes.
Pourquoi nous dit-on qu’il aurait conservé un sac avec le prénom de sa victime dessus, des menottes, et un 22.LR dans sa bagnole cinq ou six jours après les faits ? Très imprudent ça ! Perspectives de récidive ? Il est plutôt rare que les « criminels en série » se répètent à fréquences aussi rapprochées…
A moins qu’il ne s’agisse encore d’un de ces tours d’illusioniste auquel on nous habitue en tout ces temps-ci, un de ces tours entrainant le spectateur dans l’illusion d’une participation à l’enquête par l’activation de ce qui lui tient lieu de méninges, afin que, voyeur jusqu’à la moelle, il se lèche encore un peu plus « les babines participatives ».
Ne nous y trompons pas, le fait d’être spectateur n’ôte rien à l’horreur, puisque c’est à partir de cette position passive complice et consentante qu’il peut y avoir de si singuliers chauffeurs de taxis.
En effet, s’il n’existait pas de « contemplation assentimenteuse » de la barbarie, il y aurait très probablement moins d’acteurs faute de spectateurs, et les spectateurs de « ces friandises sordides » ne sont que des acteurs tapis dans l’ombre sécurisante de la salle à manger, derrière le téléviseur, dans l’attente d’une gloire et d’une célébrité qu’ils estiment leur être dues à condition de franchir à leur tour « le pas de la notoriété », même éphémère, auprès d’un public qui leur ressemble tant.
N’importe quel salaup ou couard peut devenir célèbre l’espace d’un instant dans cette organisation de l’anonymat misérable et formaté « des existences sans consistance » et toutes résolument réduites à l’état de marchandises interchangeables à l’infini, jusqu’au point le plus extravagant de la monstruosité devenu à son tour « un moment de la banalité commune ».
Le spectateur est un acteur différé qui attend passivement son heure à tout moment ! Il est le complice objectif de ce qu’il observe au fond du tube cathodique.
La compassion dont il se croit capable n’est qu’un accessoire de plus à sa jouissance supposée secrète.
Il admire sa « compassion de circonstance » au moins autant que l’acte atroce qui la provoque et auquel il voue une reconnaissance onaniste démesurée pour autant d’orgasmes décérébrés vécus par procuration.
Le spectateur est toujours infâme, il le sait et adore ça !
((( Post-scriptum Nosotros.Incontrolados +-ZAZ)))
Stephane.K/+Al de l’Ocs….
Spontanément nous serions plutôt tentés de « faire le gars » au tournebroche dans un respect très personnel des droits de l'homme, mais nous ne pouvons écarter la réalité écrasante de la tâche tant il nous faudrait de tournebroches, en définitive.
En fait la touriste blonde suédoise de 19 ans, élevée au rang de martyre, constitue un élément supplémentaire d’entretien nécessaire des « perversions-sucreries » à destination des foules inhibées et soumises.
La délectation vile pour le morbide suscitée auprès d’une population complice n’a pas de prix.
Le prix pourtant devrait en être si élevé pour « l’immense masse des spectateurs » que ces derniers préfèreraient se faire ça eux-mêmes artisanalement, à la bougie ou au coupe-ongles.
On mettrait à leur disposition les boites de bougies et les coupe-ongles.
La rançon de cette gloire, en somme.
D’autres enfin se jetteraient par milliers sous des bus, des métros… ou des taxis !
Jusqu’à ce que nous liquidions définitivement cette organisation sociale là !
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