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Et pendant ce temps-là, les nazillons entrent au parlement en Grèce, Poutine retrouve ses vieilles chiottes de tsarillon et ses intrigants de cour, la foule toujours prompte à applaudir tout ce qui passe à sa portée pourvu qu'il lui eût été dit de le faire, et aussi bien le contraire le lendemain, comme dans un show de "télé réalité" bourré de prompteurs a battu docilement le pavé...
L'écart entre "le sortant" et "l'impétrant" est si ténu que l'on se demande comment y faire passer un petit morceau de papier cul.
(AVEC LA PARTICIPATION ACTIVE DE DEUFR DU BLOG DESCENDRE DE L'ARBRE)
< Deufr:descendre de l'arbre >
Hier, et sur tous les tons, les journalistes répétaient comme un leitmotiv:
-" Les Français ont tranché...".
Que dalle ouai!!! les fRançais n'ont rien "tranché" du tout ni aucun cou!
Pour autant que nous en sachions hier soir, même au plus profond de la nuit, même au petit matin, aucune tête de con n'a roulé dans la sciure...
Le Fouquet's est toujours debout et il reste bien des "bastilles" à renverser!
Mieux: les protagonistes , vainqueurs et perdants confondus, se sont "républicainement et réciproquement congratulés" tandis que les esclaves modernes acclamaient leurs nouveaux maitres et chantaient l'ignoble et sanguinaire "Marseillaise" tout en espérant narcisiquement et tout aussi stupidement de pouvoir apparaitre " aux informations" dans ces lucarnes trompeuses que sont les écrans de télévision mis prétendument à leur disposition...
La "ferveur idolâtre" a retenti longuement dans tout l'hexagone; à peine couverte par le brouhaha "litanueux" des journaliste "Lustucru" du cru qui, de concert, dans l'attente servile et fébrile de savoir quelles seront leurs propres places sur le podium, se livraient à du remplissage des vides par du rabachi-rabacha, dévotement et en boucle.
Le seul point à peu près positif réside essentiellement dans la fin apparente du règne de Sarkozy renvoyé aux "cabinets noirs", aux "boites à penser", aux "think-tanks", (Trilatérale, Bilderberg, etc.) et autres latrines de l'ombre.
Maintenant renvoyons à F.Hollande cette considération que nous avait inspiré le précédent "Premier président socialiste de la cinqième République" et que nous avons adapté à la circonstance:
Le septième "coup d’État permanent"
de la V.ème Raie publique est avancé.
-MORT AUX VACHES-
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Steph
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