Et toujours…le même camembert. Vieilles recettes éculées – je reste poli-, ficelles préventivement usées: le recours à « l’homme providentiel….Bien sûr, bien sûr.
En Tunisie c’est un vieil exilé avançant miraculeusement sous la rampe, là, ce sera un Nobel inconnu flanqué d’un "barbu" en exil qui allument les « sunlights du baratin » pourvu que, dans un cas comme dans l’autre, reconnus comme « instrumentalisables » par la Maison Blanche, ils puissent -contradictoirement- donner à cette mise en scène démocrassouillarde lissée sur les « tablettes » de l’occident un semblant de « transparence et de transition », qu’ils puissent jouer « un rôle » favorable et débrouillard au bénéfice exclusif de la continuité assassine.
Hier c’était deux polonais -un syndicaliste et un curé, deux "traine nouilles"- qui furent propulsés emblématiquement devant la trappe des souffleurs contre "le communisme" qui n'existait même pas et surtout contre une révolution bien plus menaçante encore qu’un syndicat « libre » tel -Solidarnaque, sous les houlettes conjuguées de la calotte et du très catholique-cathodique Lech Walesa d'un côté, lequel aurait bien du mal tout seul à contenir au poil de moustaches près une telle vague de rage - et de l'autre, Carol Wotjila, cardinal de son état, futur promoteur de la papa-mobile, devenu depuis prélat sous le blaze ridiculissime de Jean-Paul II- ayant su surfer habilement sur l'assassinat de cet autre curé un peu trop indocile et encombrant: Popielusko.
En 79 , c’est un Ayatollah réfugié à Neauphle-le-château qui sera plébiscité pour prendre le contrôle de la contre-révolution iranienne…
En Côte d’Iv’ ce sera Ouattara, serviteur zélé du FMI contre un Bagbo à désamianter/dédiamenteuriser -pour ne citer que trois cas célèbres- au milieu de beaucoup d'autres d'un intérêt plus ou moins notable- contradictoires en apparence mais bel et bien au service des mêmes intérêts, d’une manière ou d’une autre, à long terme.
Ici on voudrait, dans la même veine à « gauche », nous injecter du DSK à fortes doses! Et pour tout dire: carrément à la grosse Bertha!
Non mais quelqu’un a t-il seulement évalué le gras du panneau ?
Et moi je me prénomme Jean-Balthazar…
Steph
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