Déjà, au tout début de la médiatisation de la "disparition" de Lætitia, -l'hiver neigeux et verglacé ayant sur ce plan retenu tout particulièrement et capté durablement l'attention du vulgus pecum - au moment même des premiers pas de l'insurrection Tunisienne secondée en Algérie par des émeutes allant fort bon train, nous posions la question suivante ici même:
-" L'exploitation médiatique de la disparition de Lætitia parviendra-t-elle à éclipser les évènements survenant au Maghreb?"...
Nous ne nous attendions pas exactement à la très remarquée entrée en piste de Nicolas Sarkosy et pas davantage aux célèbres vols mammaires du Quai d'Orfraies qui dans une chorégraphie coordonnée au son du tambour, de la mitraille et des lampions entendaient bien ainsi à brève échéance nous faire passer le gout du jasmin.
http://ocsena.ouvaton.org/
Nous entrions par la comique et tragique coïncidence sauvage calendaire dans l'inénarrable: "l'année du Lapin".
Les Tunisiens comme les Égyptiens maintenant auront pris date en vue de faire à leur tour courir leurs dirigeants ainsi que leurs pires sbires, et même leurs propres dragons!
http://www.lemonde.fr/afrique/
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