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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 16:30
manif sauvage sur un air d’Opéra:
(Vite fait-vitefait-Vite fait-vitefait-Vite fait-vitefait)

 

dimanche 17 octobre 2010

Le cortège ets parti de Nation après deux tours de place sous les flash des journaleux. Le groupe d’environ 300 personnes voire plus s’est dirigé vers Bastille sans encombre évitant les brigades stationnées dasn des rues adjacentes, un type a couru vers un camion de crs avec une barre de fer et en a pété le phare avant, le camion reculait, conducteur flippé. Mais cette euphorie n’a pas duré, excités et bien vénèr, un groupe a commencé à entrer dans l’Opéra, on a ouvert les portes en grand et un bon paquet de gens (50 ?) sont entrés, au début ça fightait juste avec les sécurité puis des gars ont sorti brassards et matraque et se sont postés devant l’Opéra en matraquant tous ceux qui étaient devant.

UN autre groupe est parti dans une rue adjacente mais s’est vite fait coincer dans une petite rue derrière, les plus radicaux se sont fait prendre en tenaille par les condés, il ne restait plus que les suiveurs, quelques jeunes, des curieux, il y a bien eu un petit "libérez nos camarades" mais le coeur n’y était plus.

Je crois qu’un autre groupe a réussi à filer mais après plus rien de significatif.

Tentative d’occupation de l’opéra avortée, manif terminée...

A notrer le grand nombre de civils habillés en totos, j’en ai compté environ une 40aine. Au moment de l’opéra, ils ont tous sortis leurs brassards, c’en était flippant, en quelques secondes on s’est retrouvé au milieu d’une trentaine de keufs en civil avec les matraques à la main...

il reste à tirer leçon des erreurs et continuer la grève offensive, bloquer, créer, refuser et construire des alternatives, lutter encore et toujours contre les mêmes mécaniques, les m^mes intérêts, ceux de cette minorité qui contrôle les forces de production. Nous sommes nombreux à être révoltés, de plus en plus sont près d’éclater, nous devons expliquer ce que nous faisons et pourquoi nous le faisons.

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commentaires

N
<br /> <br /> Certes la critique de ce monde pourrait n'avoir plus à attendre. Elle pourrait aussi se satisfaire de quelques "a-priori" plus ou moins tendances.<br /> <br /> <br /> Dans presque aucun des cas qui l'occupent aucun de ses objets ne sera -même modestement-  atteint sinon réduits au minimum médiocre également connu et identifié<br /> depuis longtemps sous l'éloquent et honteux vocable de "minimum syndical"!<br /> <br /> <br /> Partout la critique réelle de la misère de ne satisfait plus de ces tromperies, et partout elle se cherche.<br /> <br /> <br /> Elle se découvre progressivement que rien de ce que la servilité considère comme "paix"   n'est encore seulement un peu respectable en quoi que ce soit.<br /> <br /> <br /> Qu'il faut inévitablement faire table rase.<br /> <br /> <br /> Bien sur il faudra bien admettre sacrifier sa télé, sa bagnole à la con, son frigo vide ou seulement plein de merdes à peine commestibles, pourtant infiniment désirées au meilleurs prix, dès<br /> qu'il est vide...<br /> <br /> <br /> De tous les sujets qui nous invitent aux débats comme au dégats sur les questions touchant de près ou de loin à la critique de la vie quotidienne, aucun ne sera véritablement abordé du point de<br /> vue de ce qui le plus souvent retient le meilleurs de notre attention fr@ternelle.<br /> <br /> <br /> L'ouvrièrisme, la "lutte de places", la contestation malheureuse tendront unanimement à prendre la place de la critique de l'organisation méthodique du non-vécu.<br /> <br /> <br /> Nous, nous ne bouffons pas de ce turbin-là!<br /> <br /> <br /> Les représentations de la contestation - y compris radicales- prétendront prendre la place de la réalité et nous en voulons pour preuve qu'elles auront dans le circuit des gémissements<br /> et autres soupirs ne visant guère qu'à garantir supposément l'avenir de ces vieillesses dont nous ne voulons pas, de nos jeunesses sacrifiées aux splendeurs de l'économie et de ses impératifs...<br /> <br /> <br /> L'argument sera que "le temps de vivre viendra toujours plus tard" et que préalablement nous devrions sacrifier nos vies, nos corps, notre beauté, nos capacités à jouir<br /> à des impératifs économiques dont nous nous battons les joues! Et l'oeil aussi!?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Faut pas se leurrer: nous,en ce qui nous concerne, avec nos potes:<br /> <br /> <br /> ON NE LACHERA RIEN!!!<br /> <br /> <br /> Ca ne plait pas? Tant pis.... ah bon!!!<br /> <br /> <br /> S.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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