Le Commerce est au Désir ce que la Prostitution est à l' Amour.(Vieux Grincheux)

Vieux Grincheux

)

Le Commerce, c'est acheter des patates en Roumanie pour les revendre en France 2, voire 3 fois plus cher. Mettre des camions sur les routes et polluer, donc.

Le Commerce c'est racheter les créances des pays pauvres, refuser de traiter à l' amiable pour aller devant les tribunaux et gagner jusqu' à 10 fois son investissement, en maintenant les peuples dans la misère.

Croire que "consommer autrement" va faire gagner le conso-mateur, par la concurrence comme nous le serinent les biocops, les flics de la vie, c'est s' illusionner gravement sur ladite concurrence libre et non faussée car:

Le Commerce c'est le regroupement corporatiste pour défendre ses intérêts et accessoirement s' entendre sur les prix pour éviter toute concurrence. (Tout en "communiquant" sur ladite concurrence)

Le Commerce, comme le disait Charles Fourier, ce n' est rien d' autre que la Rapine.

Le Commerce est au Désir ce que la Prostitution est à l' Amour.

Le Commerce est la source de l' exploitation et de la réification de l' Etre. Faire du profit n' est rien d' autre que "profiter des compétences de l' autre" et lui donner moins que ce que ça vous rapporte.

Où est l' Egalité des frontons de nos mairies et tribunaux ( de commerce?) ?

Le Commerce, c'est prendre l' autre pour un con, en profitant de son désir de possession pour l' entuber.....vaseline ou pas.....

Le Commerce , c'est "Privatisons les profits, socialisons les dettes", on lui substituera avec bonheur SOCIALISONS LES PROFITS!!!!

Le Commerce est inutile. Il doit disparaitre. Il nous coûte trop cher en termes d' évolution.

Car la liberté de chacun n' est possible que si elle étend celle de l' autre à l' infini. (Bakounine)

D' où la nécessité de l' Egalité, d' où l' absurdité du Commerce.

SOCIALISONS LES PROFITS!!!!

Votre dévoué Vieux Grincheux

Comments

[Nosotros.Incontrolados-Les Amis du Négatif]

Le commerce c'est le principe abartardi de l'échange et de la communication.


Le commerce est la pseudo suppression des besoins par la génération de besoins qui n'en sont pas.


Le commerce et l'échange comme visions du monde sont les vieux héritiers de tous les mauvais procédés.


Les falsificateurs osent même affirmer que c'est grâce au commerce que les gens voyagent.


En réalité le commerce est le principe au nom duquel on "déplace le parcage forcé des populations" selon les impératifs du moment et les conséquences qu'exige son
développement dans l'accroissement effréné des profits et de l'exploitation jusqu'à épuisement de tout.


 


Le commerce s'amuse à se prendre pour le monde lui-même jusqu'à gérer des contradictions de façade, se donner une morale de circonstance. Il y du bon commerce: celui de l'effort, de la sueur, du
labeur, de la soumission, celui des marchés...Il y a le mauvais commerce: celui de la prostitution.


C'est pourtant dans les plis de la prostitution de tout que le commerce jouit le plus.


Pour le commerce tout est marchandise, tout s'achète et se vend.


Le vent, l'air, le soleil, l'eau, la parole, la beauté, le cul, le gaz, la merde, le Rien y compris.


Ce n'est qu'une question de tarifs, de barêmes, de calcul des flux.


Le commerce à sa chambre et prétend mettre tout le monde dans son lit.


(Steph)

[Nosotros.Incontrolados-Les Amis du Négatif]

Le commerce c'est le principe abartardi de l'échange et de la communication.


Le commerce est la pseudo suppression des besoins par la génération de besoin qui n'en sont pas.


Le commerce et l'échange comme visions du monde sont les vieux héritiers de tous les mauvais procédés.


Les falsificateurs osent même que c'est grace au commerce que les gens voyagent. En réalité le commerce est le principe au nom duquel on "déplace le parcage forcé des populations" selon les
impératifs du moment et les conséquences qu'exige son développement dans l'accroissement effréné des profits et de l'exploitation jusqu'à épuisement de tout.


Pour le commerce tout est marchandise, tout s'achète et se vend. Le vent, l'air, le soleil, l'eau, la parole, la beauté, le cul, le gaz, la merde, le Rien y compris.


Ce n'est qu'une question de tarifs, de barêmes, de calcul des flux.


Le commerce à sa chambre et prétend mettre tout le monde dans son lit.


(Steph)