Place de la République :
La police ment, les médias relayent !
(C'est pas un scoop !)
Il se trouve qu'hier soir (du 28 Avril 2016), après une réunion, je suis passé place de la République à Paris, vers 1 heure moins le quart du matin. Il y avait là une mini foule de 100 a 200 jeunes, qui écoutaient de la musique un peu techno, autour d’un Sound Système. L’ambiance était très calme et plutôt festive et amicale.
La place, était néanmoins cernée par la police, qui avait mis les gros moyens. Dans le métro aussi. C’était un dispositif important. La seule tension venait de là.
Je suis reparti vers 1h15.
Je découvre ce matin, que dans les minutes qui ont suivi, la Police s’est donné les moyens de dégager la place. Il s’en est suivi de la riposte, qui a déchainé la Police, et ainsi de suite ! Arrestations, dégradations …
La Police précise aujourd’hui, « qu’après l’heure, c’est plus l’heure », et que la fin des rassemblements autorisés sur la place a été fixée par décrets.
Cependant, vouloir se confronter à une foule de jeunes faisant la fête, en jouant les rabat-joie, ne pouvait qu’exposer la police à une riposte de certains d’entre eux.
Une riposte, prévisible, qu’attendait la police, pour réprimer, arrêter, ramener du gibier » !
Manifestement, c’est la police, qui a cherché la merde ! C’est la police qui voulait en découdre !
Soirée organisée par Fakir
Jean-Claude Paye (auteur de “De Guantanamo à Tarnac. L’emprise de l’image”. Editions Yves Michel 2012.)
Y compris à Publico qui présenta la semaine dernière un livre "Je suis Charlie, ainsi soit-il" (!!!..)
Où les auteurs avançaient qu'il fallait compter désormais avec les religions!
Et quelqu'un de lui répondre que, quand même, Charlie hebdo y avait été un peu fort et qu'il fallait ménager les susceptibilités des croyants!!
Entre deux semonces par l'animatrice (;"T'as pas demandé la parole !!",) qui tentait de me faire taire, j'eus le temps de lancer la fameuse phrase de Voltaire :
Sur ce, furieuse, je quittai la réunion, dans un total brouhaha !!!
Eva Loc Kua
Très beau & pas cher
__________________
LE PLANCHER DES VACHES-VACHES
___________________
Trrrrrembllllllez carcasssses, trrrrrembllllllez
arrivistes et profiteurs de tout poil
ENRICHISSEZ VOUS ! ACCUMULEZ ! THESAURIZEZ !
Car selon vous il restera bien un coin où il fera bon vivre
la saine et patiente contemplation
de vos cadavres
en pleine décomposition
Dès le lendemain des attentats du 13 novembre, par un courriel émanant de Madame Pessez, sa déléguée à la responsabilité sociale et environnementale, le groupe BNP Paribas a demandé aux faucheurs de chaises « de cesser vos actions de vols de chaise, toute intrusion dans nos agences pouvant avoir des conséquences très graves » étant donné « l’état d’urgence désormais en vigueur ».
Dans leur réponse, Thomas Coutrot (porte-parole d’Attac), Florent Compain (président des Amis de la Terre) et Txetx Etcheverry (membre de la Coordination d’Action Non-Violente COP 21) proposent à BNP Paribas une armistice : « nous sommes prêts à appeler à la suspension des réquisitions de chaises dans les agences de la BNP si vous annoncez la fermeture de vos 7 filiales dans les îles Caimans ».
Depuis début octobre 35 actions de réquisitions citoyennes ont eu lieu, dans de nombreuses villes en France, et même à l’étranger, dans des banques impliquées dans l’évasion fiscale. Le groupe BNP Paribas a été particulièrement visé (27 fauchages) car il est en pointe dans l’organisation de l’évasion fiscale via ses 171 filiales dans les paradis fiscaux, dont 7 dans les Îles Caïmans.
Ces actions ont répondu à l’« Appel à réquisitionner 196 chaises » qui a été lancé le 30 septembre par des dizaines de personnalités, dont le philosophe et ancien résistant Edgar Morin, le sociologue Alain Caillé, l’essayiste Susan George, le philosophe et ancien Haut référendaire à la Cour des Comptes Patrick Viveret, ou l’ancien résistant Claude Alphandéry.
Suite aux terribles attentats du 13 novembre, les faucheurs de chaises ont suspendu leurs actions pour quelques jours pour respecter la période de deuil. Mais l’évasion fiscale, elle, continue à réduire les fonds disponibles pour la transition écologique et sociale, à commencer par le Fonds vert pour le climat. Et les paradis fiscaux continuent à héberger l’argent des mafias criminelles et terroristes.
Si la réunion du 23 novembre débouchait sur un échec, les faucheurs de chaises repartiront à l’action pour obliger BNP Paribas à cesser ses pratiques scandaleuses.
Lettre dirigée à M. Bonnafé Président directeur général de BNP Paribas