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22 février 2009 7 22 /02 /février /2009 18:14
Les dimanches, ça se nique à mort!!!

Bon, juste un exercice de style sur le thème:"(":-) "

C'est plus fort que moi...je ne m'en lasse jamais...dès lors que j'entre-aperçois un idéogramme du genre: (":-) ", je bande comme un vieux furieux...Le vieux Siné (encore jeune sur le poil, même rare) à côté peut s'astiquer la bistouquette à lanturlu-l'as-tu-vu, devant ça:( ":-) "
Là, Qui bande mieux?

Peut-être celui ou celle qui établit là des complicités fastoches et codifiées dans un "nov-langue""langue-à-repasser"(.":-)" nous laissera toutes et tous sur nos faims sans fin, frustrés d'un mot, ne serait-ce que d'un seul...

Ce qui en matière d'absence pourrait faire une sacrée douloureuse...Imaginez un peu que nous nous risquions seulement à un exercice périlleux de poésie. avec ( ".:-) " tout de suite on voit bien que nous sommes alors dans la pire des merdes imaginables...Paf et patapaf!!!:( ":-) ça peut aussi me dire: "vat t'faire"...avec l'ambiguïté sibylline "çal'fait"..., Sauf que justement "ça ne le fait pas!",
Commode,désincarnée, effrayante...Comme notre époque...Voili-voilou...
SOYONS EXIGEANTS pas de "faux mots" pires encore que les "cartes postales si épouvantablement silencieuses, qu'elles proviennent de La Baule, du Cap Griz-Nez, de paris, de AZF...."...Ces éloquentes images figées toutes pleines de vides divers et consentis...si terriblement consensuelles dans la forge de ces communautés humaines absentes résolues à ne plus se trouver ailleurs que dans les résidus de la communication thématisée, représentée, avec ses tics et ses non-sens supposés pourtant constitués de codes...Quelques traces d'affections simulées, parfois réelles , y compris compassionnelles, balisées, mais desséchées, à jamais arides! si terriblement et résolument exsangues...Il importe en effet de peu y croire ou non, au delà des apparences de la forme même...pourvu que la tranquilité des "non-dits" toujours s'y soumette.

Les complaisances ne seront jamais que des "morts pleines par moitié superposées", auxquelles s'ajouteront les formes non moins superposées du langage réifié de la "fausse communication " qui y participent...

BASTA IA, JOUONS PLUTOT AVEC FEROCITE JOYEUSE ET SOYEUSE, VOIR SOMPTUEUSE, DE LA SUBTILE LANGUE A DEFOURAILLER!!!


"ON ne critique jamais rien de tout ce qui touche à la chosification, si on ne remet en cause les formes de langage appartenant à cette chosification...et aux perspectives de cette même chosification..."

Bien cordialement, en abrégé MAIS EN AMITIES A PLEIN BRAS. Juste avant que devant trop de faux semblants elles ne plient puis, à force de tant de faiblesses, ainsi se tarisent...
S.K

Repères : guerre-sociale

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21 février 2009 6 21 /02 /février /2009 12:08
Le produit du jour : Néolithique
X

 

Séquelles du passé dans la démocratie actuelle (zaz)

 

{{Avertissement :}}

Comme le lecteur le sait déjà, la mention "zaz" accompagnant nos textes indique une manière d'écrire délibérément décalée, qui ambitionne par un éclairage oblique à plus de perspicacité dans l'analyse politique.



********************************

 

Si on prend les choses à partir du néolithique, beaucoup de progrès ont été réalisés depuis la pierre taillée : dans le domaine scientifique et technique, dans le domaine institutionnel, dans le domaine social.

On voit clairement les changements en seulement deux cents ans, on néglige en revanche de considérer avec plus d'attention les pesantes permanences. 

 

En vérité, notre esprit est globalement structuré ancien comme il était y a 15 000 ans : les antinomies toujours agissantes sont le masculin-féminin (ex le soleil-la lune, tu vois si c'est futé !), le vrai-le faux, le bien-le mal (avec derechef l'exemple-type connu du CRS-SS), le beau-le laid, etc...

 

Dans la société, il y a aussi les antinomies du riche et du pauvre,  bref ! de celui qui mange ou de celui qui ne mange pas quand on ramène  les faits à la banalité la plus extrême du tiers ou du quart monde (voir à cet égard Babeuf, Marx, voir en regardant plus près dans le temps et géographiquement  l'émouvant concept partageux de la Vache qui rit, qui est l'honneur supérieur de la France juste après les droits de l'homme). Dans la sphère du pouvoir il y a le grand-le petit,  le puissant-impuissant, le membré pour quelque chose et le membré pour trois fois rien, qui s'achève péniblement en prolétaire souffreteux devant Canal-plus auquel il est abonné (voir Freud, Reich et la misère généralisée de la sexualité).

 

Ces survivances vivantes du passé constituent un énorme programme de réflexion que nous aborderons si vous le voulez, après coup, largement, in fine, en discussion.

 

Dans l'immédiat, contraints par le réalisme auquel doit satisfaire la présente publication, nous resserrerons notre texte à la question plus précise de la démocratie et du sarkozysme.

 

Dans le sarkozysme, comme d'autres l'ont déjà fait, nous avons repéré une mystique du chef, une mystique du vrai a-démocratique, une mystique du fait légal majoritaire : ces "particularismes" peuvent-ils résister à la présente crise, sommes-nous à la veille d'une radicale inflexion dans la pensée et la stratégie du sarkozysme ?

 

{{1. La question du chef dans le sarkozysme}}

 

Le "chef" est carrément quelque chose dans le sarkozysme. Cette idée que le chef est quelque chose puise son inspiration dans diverses sources possibles : dans l'histoire du Chat botté, dans le gaullisme de De Gaulle, dans l'empire napoléonien, dans les huit siècles de royauté et dans le fascisme mussolinien.

 

Ecartons d'emblée l'empire napoléonien qui finit deux fois lamentablement à Waterloo et à Sedan, écartons même l'empire romain qui reposait sur le choix du "meilleur", écartons De Gaulle et la monarchie qui avaient pour eux la grâce divine et le cri d'attaque très particulier de "Montjoie Saint-Denis". Que reste-t-il de pertinent ? Ne faisons pas injure à Sarkozy avec le fascisme, il reste le Chat botté.

 

Nous pensons que le régime pourrait s'infléchir, en élaguant beaucoup, en ne parlant plus à tout bout de champ "à la Ségolène" (la c'est la pique contre elle, mais plus long viendra le positif) : En se repliant sur une image plus modeste à la Garfield, le sarkozysme pourrait redevenir peut-être sympathique. Encore faudrait-il qu'il réussisse par ailleurs concrètement un tant soit peu ! Ce qui nous remonte carrément d'un cran à la mystique de la possession et de l'énonciation du vrai.

 

{{2. La question quasiment mystique du Vrai}}

 

Qu'est-ce que le vrai, vous le savez vous ? Au débotté comme ça, le vrai dans un esprit spécial rationaliste UMP c'est plutôt la relance par l'investissement, mais dans un esprit vox populi opposé, c'est la relance par la conso. Hérésie ! démagos ! affameurs du peuple ! salauds ! accapareurs entend-on aussitôt de façon libre-échangiste de part et d'autre. Bon, en fait, résumons, deux visions du monde s'opposent à propos de la vérité : celle qui met la vérité au-dessus des choses, au dessus des partis dans une sphère apolitique, indifférente à la démocratie, et l'autre thèse qui soutient que la vérité est toujours vérité relativement à quelque chose, que ce quelque chose soit appelé référent, point d'appui, centre, axe du regard.

 

Si tu centres sur la France ou si tu centres sur les Français, tu comprends que déjà ça peut tout changer du tout au tout. C'est pas le même tabac d'avoir pour référent l'Etat ou d'avoir pour référent le peuple. Dans les résidus proto-historiques qui continuent à jouer, l'Etat joue beaucoup,  le peuple moins (et on te parle même pas du peuple en tant que plèbe !)

 

Le peuple n'est pas a priori le must des gouvernants. Or, une gaffe, une bêtise inconsidérée a été faite en 1958, à la ligne-article 2 de la Constitution, le législateur a disposé noir sur blanc que le principe de la France était le "gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple." Si, authentique ! : "pour" le peuple.

 

Sarko n'en est pas revenu, il l'a même fait relire trois fois à Guéant à haute voix. Cette finalité nettement démocratique l'a littéralement sidéré. Or Sarko est un homme conséquent : si la Constitution le dit !... Immédiatement il a fait filer 200 euros à tous les Français vraiment fauchés.

 

Cette inflexion du sarkozysme, après l'inflexion précédente sur la question du chef, c'est littéralement un bouleversement de la doctrine dont la potentialité n'est pas encore pleinement mesurée.

 

{{3. La question du fait légal majoritaire}}

 

D'autres choses antédiluviennes donc pèsent sur l'uptodate moment. Si le bonheur des gens est la finalité intrinsèque que l'on prétend, dans la réalité la "gouvernabilité" est de loin la préoccupation première, obsessionnelle, des gouvernants. La démocratie qui existait cinq siècles avant JC de façon très naturelle a dû être remaniée à l'époque moderne de sorte qu'on n'en reconnaisse au mieux que le mot. Le tirage au sort des ministres a disparu, les députés ont commencé à être scandaleusement payés, on s'est donné des chambres, des cours, et de nombreuses longueurs institutionnelles pour faire en sorte que le peuple ne commande pas vraiment et même pas du tout.

 

La légalité l'emporte sur la légitimité, la loi de la majorité l'emporte sur la justice et le bon sens. Heureusement vindieux y a eu la crise ! 

 

On pouvait pas continuer à imposer comme règle universelle la chance matérielle et la pensée bobo parisienne sur la galère des potos des zones 2 à 6 du RER : Une velléité de démocratie participative est apparue dans le sarkozysme (encore l'influence de Ségo, en bien cette fois !), Sarko a consulté les sondages, les syndicats et même un peu les Antillais. De là ressort un zeste d'évolution, la France de Nicolas c'est pas l'enthousiasme US pour Obama mais c'est déjà un premier pas.

 

On peut pas encore tout de suite demander à Sarko qu'il vire l'Assemblée, qu'il constitue un gouvernement d'union face aux problèmes, mais bon ! il a déjà dégagé out les enfantillages agités de Darcos et de Pécresse, c'est bien le signe d'une volonté, et si c'est une faiblesse c'est une bonne faiblesse pratique.

 

{{4. En définitive, le sarkozysme évolue-t-il vraiment ? et s'il évolue, son évolution est-elle crédible ?}}

 

Oui ! On répond court.

 

Oui le sarkozysme a certainement un intérêt majeur et objectif  à rapprocher les intérêts communs non dits des formations de pouvoir, à savoir UMP, PS, Modem, PC, etc. C'est une question de survie ! du sarkozysme d'une part mais aussi du régime en son entier qu'on a prédéfini comme une démocratie passablement trichée tenant tantôt sur un pied tantôt sur l'autre dans un équilibre somme toute assez précaire. Une moitié de la France ne peut pas se satisfaire de bouffer alternativement l'autre moitié perdante une fois tous les cinq ans. Les cohabitations étaient une bénédiction, pas sur le plan de l'efficacité mais sur le plan de la paix sociale. Il va bien falloir reprendre ça, avec la concoction cette fois d'un très savant dosage. La Suisse arrive bien depuis longtemps à mettre au pouvoir et sa majorité et son opposition. La cote taillée avec les autres est un pari avantageux, Ségo vient de marquer une avancée phagocytable avec sa théorisation sur la prise en charge de la "dette des ménages."

 

Bien sûr, Garfield qui s'est toujours cru malin joue encore l'attente en donnant pour le moment juste un peu pour voir venir. Faudrait pas attendre trop longtemps, Grouchy peut faire défaut, Blücker peut arriver. Sur le plan formel Sarko Garfield retouche à des aspects formels, il se rend bien compte que le style trop exposé très blablaté doit être rectifié, qu'un premier ministre réel présente des avantages, car dans l'esprit de la 5e seul le premier ministre a le droit d'avoir l'air d'un imbécile.

 

Bref Sarko joue son avenir, la 5e république aussi.

 

Où faut-il repérer les autres alternatives possibles ?

 

{{5. L'hypothèse, les scenarii alternatifs}}

 

T'as de multiples germes d'avenir qu'il faut sans aucun doute regarder sans a priori de mépris, y a les décroissantistes, ceux qui font le bon des poubelles, ceux qui refusent qu'on nourrisse les protéines animales mangeuses de calories végétales, y a ceux qui veulent la pénalisation des sports d'hiver qui sont un invraisemblable scandale du gaspillage, y a enfin la donne nouvelle que constitue l'arrivée dans la bataille d'Olivier et du NPA.

 

Ce dernier important sujet sera l'objet de notre prochaine réflexion.

 

 

 

*****************************************

 

{{Alain Serge Clary et les Inoxydables philosophes de l'Ocséna vous saluent bien ! }}

 

................................................

 

{{{Les Pensées zaz de l'Ocséna}}}

{{Ocséna, Organisation contre le système-ENA et pour la démocratie avancée}}

-[-> http://ocsena.ouvaton.org]

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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 21:34
Jeudi 19 février 2009

Agnès Maillard, 19 février 2009 ShareThis | 3 commentaires


Le talent de Séguéla, c’est de ramasser un univers entier dans une petite phrase qui marque les faibles d’esprit. C’est d’ailleurs grâce à ce sens abrupt de la formule qui tue que Séguéla s’est sans doute payé sa Rolex à lui tout seul, comme un bon winner au pays du mépris des autres.

Parce que si un mec comme Séguéla réussit à la Séguéla, c’est à dire en affichant ostensiblement sa morgue, sa suffisance et sa vacuité à la face de tous ceux qui produisent les richesses qui vont dans sa fouille et celles de ses potes sans jamais ruisseler jusqu’à la France d’en bas, c’est bien la preuve qu’il y a quelque chose de profondément pourri au royaume de la globalisation heureuse.
Séguéla est comme son métier, un raccourci de ce qu’une génération et une classe sociale ont produit de plus vain et obscène, l’art de piller un monde tout en s’autocélébrant et en réclamant soumission et dévotion de la masse énorme de ceux qui se sont fait spolier. En fait, plus on voit et on entend Séguéla et plus on est enclin à apprécier le cynisme autocentré et désabusé d’un Begbeider vaguement repenti et à partir duquel on mesure mieux le chemin qu’il lui a fallu parcourir pour s’extirper de la fange nauséabonde qui l’avait enfanté.

Un seul Séguéla qui flatule son incommensurable vide intérieur à la télévision, ça vaut toutes les campagnes de pub pour tous ceux qui dénoncent à longueur de temps la Guerre des classes qui nous écrase la gueule dans la merde chaque jour un peu plus et qui attend en plus qu’on la ferme et qu’on dise merci. Séguéla est un immense publicitaire... contre son camp. Si tant est qu’il ait un autre camp que celui de ma gueule avant la tienne, tant ses engagements à géométrie variable laissent perplexe quant à la loyauté que l’on peut espérer d’un personnage pareil. C’est typiquement le genre de gars qui se place systématiquement du côté du poignet qui porte la plus grosse breloque... ou le plus gros gourdin. Lâchez-le sur la Guadeloupe et en 60 minutes d’UV chrono, il se glisse dans la peau d’un Créole exploité et te chie un slogan à quatre sous contre les Békés et la vie trop chère. À ce niveau de mimétisme épidermique, on touche au génie de la survie en milieu hostile.

Mais le vrai génie de Séguéla, cette fois, c’est d’avoir exposé dans toute sa sordide nudité le crédo de ceux qui prétendent gouverner nos destinées, c’est d’avoir dévoilé l’indigence idéologique de toute la classe dominante : une effarante course au fric sans vergogne qui n’a d’égal que son mépris de classe abyssal. Car chanter le cantique de la réussite bling-bling au moment même où des millions de gens sont sommés de se serrer la ceinture sous la menace écrasante de perdre le peu que peut offrir une vie entière de labeur et de basculer dans la misère, ce n’est pas de l’inconscience, c’est juste un cynisme titanesque juché sur les épaules d’une connerie sans limites. Non contents d’avoir fait les poches du petit peuple en agitant le spectre hideux de la crise, les charognards ont décidé de se payer la tête de leurs victimes, tant ils sont sûrs de leur supériorité et de notre soumission.

En fait, nous n’avons peut-être pas encore assez de Séguéla ou de Serge Dassault. Ha, Serge Dassault, défenseur des idées saines dans un monde voué à sa bonne fortune, hier encore, monopolisant le crachoir sur Public Sénat, pour faire montre de son immense compassion pour les pauvres patrons pris à la gorge par les manants qui réclament le luxe inouï de ne pas se faire dépouiller du droit de vivre décemment pour servir les dividendes et petits bonus de quelques-uns. Ô que oui, nous n’en avons pas encore assez de ces pourfendeurs des gueux, des croquants, de cette masse informe de veaux qui aspirent à l’égalitarisme droit-de-l’hommiste, alors qu’ils ne comprennent que la trique et le gnouf et que leur posture préférée, c’est à genoux, le joug bien calé sur leurs solides épaules, leur inclinant délicatement l’échine vers le sol.

Parce que si nous avions assez de ces fâcheux gorets qui éructent leur suffisance tout en se gobergeant de nos souffrances, alors, il n’y aurait pas que dans les Antilles que le peuple souverain exigerait qu’on lui rende des comptes.

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- Agnès Maillard

Un article issu de : Ta Rolex dans ta gueule

À voir en ligne ici : http://blog.monolecte.fr/post/2009/02/18/Ta-Rolex-dans-ta-gueule

par ... publié dans : TERRITOIRES AUTONOMES &ZYMOTECHNIQUES
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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 11:54

Pas encore la chienlit mais ça commence peut-être à fermenter (zaz)

 

{{Double avertissement prudent : }}


- Un zaz ou une pensée zaz, globalement, c'est "un bon mot mauvais".


- On sait : parfois ils sont très idiots, mais c'est seulement que le principe le veut.

**************

{{Déjà en France, y a pas de boulot,  mais à la place y a des expos}}
 
D'après le Monde, l'expo Picasso a été triomphale : 783 352 entrées. "Seul bémol, la proportion d'ouvriers et d'employés reste faible 8%".
 
Commence maintenant l'expo De Chirico.
 
Du côté de la porte de Saint Ouen, partie  "Puces et antiquités", on apprécie beaucoup ce dynamisme des collègues du Ministère de la culture, on les appelle avec une certaine affection : Le ministère de la branlette bourge.
 
-Ce que nous en pensons ?
 
-Oh rien ! nous on préfère l'espagnole ?
 
{{L'esprit de la Constitution }}
 
Le sarkozysme frise en ce moment la tragédie. Dans la dérision, le nouveau truc sur le "congé parental", ce matin, n'arrange  rien.
 
Il faut absolument revenir à l'esprit originel de la cinquième république : Dans la 5e, seul le premier ministre a le droit d'avoir l'air d'un imbécile.
 
{{Tandis qu'Obama envoie 12000 hommes en Afghanistan : délicatesse du sarkozysme}}
 
Mais dans l'anti-sarkozysme, on pousse souvent aussi de façon très  injuste.
 
Ainsi va-t-on observer de façon critique que la légion étrangère paraît peu engagée en Afghanistan.
 
On ignore trop souvent que c'est par pure délicatesse, l'hymne de la légion  "Tiens, tiens, voilà du boudin", surtout chanté, pourrait vivement choquer les populations locales.
 
{{La grande et stupide nouvelle est naturellement la collision d'un sous-marin nucléaire français avec un homologue anglais. Bel effet !}}

T'as aussi pour l'ambiance les bavures du procès Colonna. 
 
On compte à peine par ailleurs les manifs contre la vie chère, 
 
ni les manifs contre Pécresse. 
 
-Putain ! Ca sent le brûlé, hein !
 
-Arrête Freddo avec tes euphémismes ! pourquoi ne pas dire très simplement que ça sent franchement la merde, Ca fera en plus plaisir à l'UMP, ils adorent beaucoup le parler-vrai..}}
 
{{La France sombre avec l'actuelle question sociale et les nombreuses autres erreurs gouvernementales dans une sinistrose absolument épouvantable, rien ne pourrait la dérider. }}
 
Tu inventerais, je ne sais pas ! même un ministère "du cul et de la fesse", qu'elle hausserait les épaules sans se marrer.
 
Sauf si Eric Besson en était nommé ministre certes, mais là bien sûr l'effet est beaucoup trop facile, ce serait plus du jeu !
 
{{On vous ment à tout instant en politique comme on vous ment en médecine.}}
 
Tiens, prends le cancer ! Tout le monde te le dira, on y fait de gros progrès. Or, je te demande, t'as déjà vu un malade proche, un ami, qui s'en soit sorti vraiment ? : Evidemment, t'as le cancer du sein on te coupe le sein, c'est aussi simple.
 
T'as le cancer de l'intestin lequel fait 7 mètres, on t'en coupe un mètre tous les ans, ta vie foutue se trouve forcément prolongée statistiquement de 7 ans. Mais bon, t'as des cancers vachement cornéliens avec ça, comme le cancer des couilles par exemple.
 
La méthode UMP telle qu'on la connaît a retranché toujours partout beaucoup, on voit où ça nous a mené. En bref ! on peut résumer les choses en deux mots à présent : L'UMP c'est le cancer des couilles !
 
{{Et DSK !}}
 
On a beaucoup souligné le rôle des médias dans la dérive générale de la politique aujourd'hui, la télé surtout.
 
En négatif, il y a par ex. cette contrainte absolue qu'il faut toujours s'employer à parler, dire au besoin n'importe quoi, surtout ne pas se taire. Il y a l'habit aussi toujours très convenu. L'artiste est mal rasé et avec l'air un peu cradingue. Le politique est propre sur lui, bien cravaté.
 
En positif, bien sûr y a d'autres obligations peut-être à la limite heureuses. Qui que tu sois, pas moyen de te gratter les couilles à la télé. Même DSK n'a pas osé ! Yves Mourousi, on s'en souvient, est le dernier à l'avoir fait.
 
{{Bis repetita, à propos du cancer des couilles : "Fumer du cannabis augmente les risques de cancer des testicules" c'est dans Le Monde)}}
 
Tant mieux ! Parce que, je ne sais pas ce que vous en pensez,  mais nous on les trouve de plus en plus  shootés, les députés de l'UMP. D'ailleurs de ce coté, Frédéric Lefebvre et Jean-François Copé commencent franchement à inquiéter.
 
{{Ce soir, Sarko parle : Sans Sarko, au fond, peut-être qu'on s'emmerderait !}}
 
Il doit parler ce soir après le sommet syndicats-Elysée,  tu imagines combien nous sommes impatients d'empather ou d'antipathiser en attrapant les choses sur le vif !
 
Toutefois la grande question véritable que nous nous posons, là en douce, à 16 heures, de manière pas si annexe que ça, est la suivante : y a-t-il un style Sarko établi, comme on a pu avoir un style directoire,  empire, Louis-phillipe, avec les pieds droits ou les pieds tordus. ? Bref, le sarkozysme avec ou sans Sarko marque-t-il déjà fortement notre époque de façon fixe ?
 
Aussi incroyable qu'on puisse le croire, oui.
 
D'abord il y a l'étrange mimétisme Sarko-Ségolène qui vient en premier, t'as du mal à faire la différence c'en est saisissant, ça ne s'explique pas !
 
Y a d'autres mimétismes homomorphiques ensuite : Celui, ce n'est que le deuxième, commun notamment à Laurent Joffrin et à Copé. Même air satisfait, même front intelligent, on sent qu'ils ont intégré tous deux les valeurs du vieux cinéma américain des années cinquante recolorisé : Quand le héros rentre, tu le vois à son regard, tu sais qu'il survivra jusqu'à la fin du film. Malheureusement ! (C'est aussi ce qui fait chier a priori dans le sarkozisme mais on va voir un peu plus tard).
 
Le traumatisme aujourd'hui serait quand même contre l'attente naturelle presque acquise que Sarko en fait change,  qu'il passe à la cause du peuple contre celle des grands, des gros, des patrons en général..
 
Or là, il faut bien le dire, bien que ça soit une pure hypohèse audacieuse et plutôt bonne, nous ne sommes tout simplement pas encore prêts. Nous ne sommes pas encore en état de passer du régime libéral-dynamique battant-à tout casser-relanceur de l'investissement au régime humanitaire-social à développement-équilibré-durable-relanceur de la consommation et de la pauvre vie des gens.}}
 
Suspense ! Moi je les mouille ! je le dis ! On s'ennuie en tout cas pas avec le sarkozysme ! que nous réserve-t-il ?
 
 

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{{Alain Serge Clary et les Inoxydables philosophes de l'Ocséna vous saluent bien ! }}

 

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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 12:59
programme février - mars, programma februari - maart ACRATA
Lokaal Acrata
 
afficher les détails 12:37 (il y a 21 minutes)
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(Nederlandstalige versie onderaan)

 

A partir de jeudi 26 février: Pour en finir avec le spectre de Dieu, recueil de textes publié à l’occasion de la semaine antireligieuse dans le local Acrata. Avec des extraits et des textes de Meslier, De Sade, Shelley, Bakounine, Stirner, Rimbaud, Réclus, Libertad, Armand, Pannekoek, Most,…

 

Exposition antireligieuse ouverte pendant les permanences et les activités. A travers différentes images et fragments de textes, cette exposition veut avancer quelques pistes de la pensée athéiste.

 

Jeudi 26 février, 20h : Projection PARADISE NOW

 

(Palestine 2005 – réalisé par Hany Abu-Assad)

 

Deux amis de jeunesse palestiniens, Khaled et Saïd, sont « élus » pour commettre une action kamikaze à Tel Aviv. Depuis des années, ils ont adhéré à une faction islamiste qui les appelle maintenant à réaliser l’acte ultime pour défendre « l’oumma », la communauté musulmane. Ce film fictif suit les derniers jours de Khaled et de Saïd. Même s’il accentue assez fort les conditions dans lesquelles des millions de Palestiniens sont obligés de survivre, le film montre aussi que ce ne sont pas que les simples conditions matérielles de misère qui amènent des gens à se sacrifier au nom de Dieu. Le film explique bien la force réactionnaire de la religion et les jeux de pouvoir entre ses défenseurs qui instrumentalisent des croyants « ordinaires ».

 

 

Samedi 28 février, 20h : Discussion pour en finir avec le spectre de Dieu

 

« Le prétendu retour du religieux que le spectacle ne cesse de nous ressasser ne changera rien à une donnée fondamentale : Dieu est mort, définitivement mort, il y a déjà plus d'un siècle; il a été remplacé par la religion du Capital, dont l'argent est le prophète. Prophète qui, comme on le voit en Chine aujourd'hui, déchaîne d'autant plus les passions qu'il n'a pas à s'embarrasser d'une transcendance religieuse concurrente. Mais pour les peuples longtemps assujettis au monothéisme, quel qu'il soit, le fantôme de Dieu rôde encore, telle une outre vide qui se remplit de la réponse illusoire à toutes les frustrations, les rancœurs et les oppressions que ne cessent d'engendrer l'Économie et la classe qui en retire les bénéfices. Et, comme une lourde menace, ce spectre pèse sur l'imaginaire collectif, dont il pollue le langage, confisque les espoirs et bride les élans. Se débarrasser de cette menace, c’est risquer la seule aventure qui vaille, celle de la liberté. Affirmons donc une fois encore le caractère intrinsèquement blasphématoire, antireligieux, et par là même libérateur, de la parole poétique, et notre viscéral irrespect pour toute soumission à la baudruche du divin. »

 

-          Groupe de Paris du Mouvement Surréaliste

 

Il est indéniable que depuis peu de temps, la religion dans toutes ses formes a commencé à regagner en puissance en influant et en déterminant l’ensemble des rapports sociaux. Les trois valeurs promues depuis toujours par la domination, la Famille, la Patrie et Dieu regagnent du terrain dans tous les coins de la planète. L’ancienne divinité a en effet été repoussée par la religion de la marchandise et sa gestion démocratique. Mais le fondement de la croyance, la transcendance, est resté intouché. Au contraire, si Dieu ne pouvait plus être le bien suprême, bien d’autres candidats se sont présentés ; l’Etat avec ses citoyens ou aussi bien le Grand Soir, l’Humanité, la Science. Ce n’est donc pas étonnant que les vieilles religions regagnent en force, car elles n’ont jamais vraiment disparu. Ce regain de la réaction religieuse nous éloigne de toute idée émancipatrice et d’une lutte en conséquence. Combattre les religions et leurs défenseurs, en comprenant bien les causes de leurs succès, est alors plus que jamais nécessaire. Seule une perspective révolutionnaire qui sait porter en avant, malgré tout, malgré les masses des croyants, la critique de toute forme de divinité pourrait refuser les faux camps tracés par les religions. Car la religion a toujours été et sera toujours un outil pour défendre l’ordre actuel des choses, pour pousser les exploités à la soumission et la passivité. Une discussion dans ce sens-là demeure toujours urgente.

 

Jeudi 5 mars, 20h : Projection THE MAGDALENE SISTERS

 

(2002, Irlande, réalisé par Peter Mullan)

 

Dublin 1964 – Trois jeunes femmes sont envoyées au même moment dans un des convents des sœurs magdalene, où elles doivent expier avec d’autres femmes pour leur comportement débauché (comme être violée, avoir un enfant sans être mariée, être attirante…). Leur quotidien est marqué par l’exploitation, l’humiliation, la solitude et la peur permanente des peines et de la violence des sœurs présentes. C’est seulement quand deux femmes reconnaissent leur propre volonté et leur force commune, qu’elles réussissent à s’en aller de là. Loin d’une prison où le chemin vers le dehors n’est pas seulement bloqué par les nonnes, mais surtout par leur croyance invétérée dans l’église catholique et l’acceptation de son pouvoir sur leurs vies.

 

La Gloire des athées, Anthologie de 100 textes rationalistes et antireligieux de l’Antiquité à nos jours, 2006, Les Nuits Rouges, 700 p.

Malgré le ton très marxiste de l’introduction, les portraits souvent incomplets des auteurs des textes choisis et quelques sélections qui témoignent d’un très mauvais goût (par exemple quelques auteurs crypto-fascistes), ce livre offre pleins de textes antireligieux rassemblés par ordre chronologique qui permettent de découvrir le trajet de la pensée blasphème et athéiste. Ce qui est très intéressant aussi c’est que les textes sont de types différents, de poèmes aux œuvres philosophiques, en passant par des tracts et des chansons  n’émanant  pas seulement de la « tradition occidentale ».

 

Michael Bakounine, Dieu et l’Etat

Cet ouvrage classique et offensif résume bien la nécessité pour tout projet révolutionnaire de se munir d’une critique athéiste en luttant non seulement contre les aspects infâmes de la religion (toujours prête à légitimer les pires abus et la pire oppression) mais aussi en s’attaquant aux fondements mêmes de la religion et de ses concepts de transcendance. Même si le ton du début semble donner un rôle excessivement libératoire à la science (dans une époque où l’Internationale encourageait les prolétaires à apprendre la chimie pour utiliser la sainte science contre la société de classes), les fondements antiautoritaires de cette façon de considérer la pensée athéiste laissent assez d’ouvertures pour élargir la critique.

 

 

Max Stirner, L'unique et sa propriété

Max Stirner nous propose dans cet ouvrage classique une critique implacable de la religion comme de l’autorité. Tout dieu, toute cause élevée, tout intérêt commun exige le sacrifice, l’humiliation et l’abnégation de l’individu. L’individu doit servir la grande cause, l’Etat, la communauté et l’intérêt commun, même si les intérêts de ces altesses se heurtent sans cesse avec sa propre unicité et son intérêt personnel. En finir avec l’autorité et la religion nécessite un mouvement inverse : un blasphème éhonté et une révolte sacrilège, qui prétend l’intérêt personnel tant maudit par toutes les églises, tous les Etats et prêtres. Depuis cette critique impitoyable de la communauté, l’Etat et la religion, Stirner a développé le concept de la libre association d’individus uniques qui fait valoir son influence jusqu’ au jour d’aujourd’hui comme forme d’association.

 

___________________________________________________________________________

 

 

Vanaf donderdag 26 februari: Antireligieuze tentoonstelling toegankelijk tijdens de openingsuren en activiteiten. Met verschillende afbeeldingen en tekstfragmenten probeert deze tentoonstelling een aantal pistes van het atheïstische gedachtegoed naar voren te schuiven.

 

Beschikbaar in het lokaal: Afrekenen met het spook van God, bundeling van teksten naar aanleiding van de antireligieuze week in het lokaal Acrata. Met uittreksels en teksten van Meslier, De Sade, Shelley, Stirner, Rimbaud, Bakoenin, Réclus, Libertad, Armand, Pannekoek, Most,...

 

 

Donderdag 26 februari 20u: Filmvoorstelling PARADISE NOW

 

(Palestina 2005 – geregisseerd door Hany Abu-Assad)

 

Twee jeugdvrienden uit Palestina, Khaled en Saïd, worden ‘uitverkoren’ om een zelfmoordaanslag te plegen in Tel Aviv. Als sinds jaren maakten ze deel uit van een islamistische fractie die hen nu oproept tot de ultieme daad ter verdediging van de ‘oemma’, de islamitische gemeenschap. Deze fictie-film volgt de laatste dagen van Khaled en Saïd. Hoewel er in de film veel nadruk gelegd wordt op de omstandigheden waarin de miljoenen Palestijnen gedwongen worden te overleven, toont de film ook aan dat het niet slechts ellendige materiële omstandigheden zijn die mensen ertoe aanzetten om zich op te offeren ter ere van God. De film toont de reactionaire kracht van religie en de machtspelletjes die haar verdedigers spellen op kap van de ‘gewone’ gelovigen.

 

Zaterdag 28 februari 20u: Discussie om af te rekenen met het spook van God

 

“De veronderstelde terugkeer van het religieuze, waarover het spektakel maar blijft bazelen, kan een fundamenteel gegeven niet veranderen: God is dood, voorgoed dood, en dat al sinds meer dan een eeuw. God werd vervangend door de religie van het Kapitaal, wiens profeet het geld is. Een profeet die, zoals je vandaag kan zien in China, zovele passies doet losbarsten dat hij zich niet moet belasten met de gewoonlijke religieuze transcendentie. Maar voor de bevolkingen die zo lang onderworpen zijn aan het monotheïsme (welk dan ook), roert het spook van God zich nog steeds, als een lege buidel die gevuld wordt met het illusoire antwoord op alle frustraties, rancunes en onderdrukking die de Economie en de klasse die er winst uithaalt onophoudelijk voortbrengen. En dit spook weegt als een zware bedreiging op het collectieve denkbeeldige, wiens taal het bevuilt, wiens verwachtingen het confisqueert, wiens opwellingen het onderhoudt. Zich ontdoen van deze bedreiging is zich wagen aan het enige avontuur dat de moeite waard is, het avontuur van de vrijheid. We bevestigen dus nogmaals het intrinsiek blasfemische, antireligieuze en daarom op zich bevrijdende karakter van het poëtische woord, en ons hartstochtelijk non-respect voor elke vorm van onderwerping aan de zak met goddelijke lucht.”

 

- Parijse groep van de Surrealistische Beweging

 

 

Het valt niet te ontkennen dat religie in al haar vormen de laatste tijd opnieuw aan kracht wint en het geheel van sociale verhoudingen beïnvloedt en zelfs bepaalt. De drie waarden die de overheersing altijd al gepromoot heeft - Familie, Vaderland en God – winnen in alle hoeken van de wereld terug terrein. De vroegere godsdiensten werden weggedrukt door de religie van de koopwaar en haar democratisch beheer. Maar aan de grondslag van het godsgeloof, de transcendentie, werd niet geraakt. Integendeel, God mocht dan niet langer het hoogste goed zijn, er bieden zich genoeg andere kandidaten aan; de Staat met haar burgers of evengoed de Grote Avond, de Mensheid, de Wetenschap. Dat de oude religies terug aan macht winnen, is dan ook niet verbazend omdat ze in feite nooit zijn weggeweest. Deze heropleving van de religieuze reactie verwijdert ons van elk emancipatorisch idee en een daaruit volgende strijd. Tegen de religies en hun verdedigers vechten, met een goed begrip van de oorzaken van hun succes, is daarom meer dan ooit noodzakelijk. Slechts een revolutionair perspectief dat, ondanks alles, ondanks de massa’s van gelovigen, de kritiek van elke vorm van goddelijkheid kan uitdragen, is in staat om de valse kampen die de religies maken te weigeren. Want religie is altijd een instrument geweest om de bestaande orde te verdedigen, om de uitgebuiten aan te sporen tot onderwerping en passiviteit, en zal dat ook altijd zijn. Een discussie in die zin blijft steeds dringend.

 

Donderdag 5 maart om 20u: Filmvoorstelling THE MAGDALENE SISTERS

 

(2002, Ierland, geregisseerd door Peter Mullan)

 

Dublin 1964- Drie jonge vrouwen worden op dezelfde moment naar één van de kloosters van de magdelene sisters gebracht, waar ze samen met andere vrouwen moeten boeten voor hun ontuchtig gedrag (zoals verkracht worden, een kind krijgen zonder getrouwd te zijn, aantrekkelijk zijn ...).

Het dagelijks leven wordt getekend door uitbuiting, vernedering, eenzaamheid en de permanente angst voor de straffen en het geweld van de aanwezige nonnen. Pas wanneer twee vrouwen hun eigen wil en hun gezamenlijke kracht herkennen slagen ze erin ervandoor te gaan. Weg van een gevangenis waar de weg naar buiten niet alleen geblokkeerd wordt door de nonnen maar vooral door het diep gewortelde geloof van de gevangenen in de katholieke kerk en de aanvaarding van haar macht op hun leven.

 

 

Een beetje leesvoer rond religie beschikbaar in het lokaal

 

 

La Gloire des athées, Anthologie de 100 textes rationalistes et antireligieux de l’Antiquité à nos jours, 2006, Les Nuits Rouges, 700 p.

Ondanks de erg marxistische toon van de inleiding, de vaak onvolledig portretten die geschetst worden van de auteurs van de uitgekozen teksten en enkele keuzes die naar onze mening van slechte smaak getuigen (bijvoorbeeld enkele crypto-fascistische auteurs), biedt dit boek vele antireligieuze teksten aan die gerangschikt werden in chronologische volgorde. Het boek laat toe om het traject van het godslasterende en atheïstische gedachtegoed te ontdekken. Het is ook interessant dat in het boek verschillende tekstvormen werden gekozen, van gedichten tot filosofische werken over liederen en pamfletten die daarenboven niet alleen hun ontstaan vonden in de zogenaamde ‘Westerse traditie’.

 

Michael Bakoenin, God en de Staat

Dit klassieke en offensieve werk vat goed de noodzaak samen voor elk revolutionair project om zich te wapenen met een atheïstische kritiek die niet alleen strijdt tegen de walgelijke aspecten van religie (die altijd klaarstaat om de ergste misbruiken en onderdrukking te verantwoorden) maar die zich richt tegen de fundamenten van de religie en haar concepten van transcendentie. Hoewel de toon in het begin een te bevrijdende rol toedicht aan de wetenschap (maar het was een tijd waar de Internationale het proletariaat aanmoedigde chemie te studeren om de heilige wetenschap te gebruiken tegen de klassenmaatschappij), laten de antiautoritaire fundamenten van deze manier om het atheïstische gedachtegoed te beschouwen genoeg openingen om de kritiek uit te breiden.

 

Max Stirner, De enige en zijn eigendom

  

Max Stirner schotelt ons in dit klassieke werk een meedogenloze kritiek voor van zowel de religie als de autoriteit. Elke god, elke hogere zaak, elk algemeen belang eist opoffering, vernedering en zelfverloochening van het individu. Het individu moet de grote zaak, de staat, de gemeenschap en het algemene belang dienen, ook al botsen de belangen van deze hoogheden onophoudelijk met zijn eigen uniciteit en zijn eigenbelang. Om komaf te maken met de autoriteit en de religie, is er een omgekeerde beweging nodig: een schaamteloze laster en een heiligschennende revolte, die het door alle kerken, staten en priesters zo verfoeide eigenbelang voor ogen heeft. Vanuit deze nietsontziende kritiek van gemeenschap, staat en religie ontwikkelde Stirner het concept van de vrije vereniging van unieke individuen dat tot op vandaag zijn invloed doet gelden als informele verenigingsvorm.

 

 


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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 20:08
La colère dans les tripes, les yeux, les oreilles...la poesie aussi; Le chien: Léo Férré.
Pour voir le nouveau commentaire, visiter :
http://taz-network.ning.com/profiles/blog/show?id=2711764%3ABlogPost%3A2043&page=1#comment-2711764_Comment_2058
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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 18:37
LES AMIS DU NEGATIF A L'OEUVRE
Léo et nous...les potos des mondes autres...Il n'est d'unique que le néant.

Nous ferons des séminaires particuliers avec des grammairiens particuliers aussi, chargés de mettre des perruques à poux aux vieilles pouffiasses littéromanes...

Nous ferons des prières inversées, nous jetterons à la face des gens des mots "sans culotte", sans bande-à-cul...tandis que ces enfants dans la rue sont tout seuls et s'inventent la vraie galaxie de l'amour instantané...

Nous parlons pour dans dix siècles! Nous prenons date! On peut nous foutre en cabane (nous y sommes déjà, y serions nous seulement un peu plus?!) On peut bien nous rire au nez, (ça dépend de quel rire....)et peu importe que l'on nous traite de chiens...
Les chiens, quand ils ont de la visite, ils se dérangent...ils posent leurs os comme on pose sa cigarette... quand on a quelque chose d'urgent à faire...même et y compris surtout lorsque cette urgence contient l'idée de foutre sur quelques margoulettes!!!

Nous aboyons avec des armes dans la gueule, des armes noires, comme la terreur,
que vous assumez... des armes autres, comme celles des désirs que nous assumons!!!*

Nous sommes des chiens!
_______________________

YES!!!
Nous provoquons à l'amour, à la révolution...coalisés ou individuellement. des lits de hasard, bordés par les joies et le désir surgissent des fortunes non monnayables mêlant au rire, au jouissif, à tout le vécu même seulement tout ce qui est vif et semble bêtement inimaginable aux accédant à la tranquillité des mouroirs paisibles......

Et nous, nous nous plaisons à nous générer des remises en cause dont les théâtres de consciences abattent jusqu'à la cruauté et les simulacres des temps anciens et récents.

Oui, ces temps où la fantaisie première de même que nos drames y seraient insurmontables dans l'imagination embastillée, puisqu'ils ne pourraient jamais s'y résoudre ou même s'y concevoir seulement ailleurs que dans une perspective d'affranchissement de toutes les tutelles, que dans toutes les formes de vécu et de tout ce qui y existe comme dépendant de nous et rien que de nous, ou aussi bien tout ce qui immanquablement y succombe!

Ce que nous rencontrerons nous est encore inconnu puisque nous avons seulement à le construire pourvu qu'il nous reste encore un tout petit peu de tout ce temps qui nous a été impitoyablement volé ....et ça ça nous plairait infiniment plus, plutôt que la certitude d'une "non-vie" attendue, définitive, inexorable...Mais il se pourrait fort que demain ne puisse plus jamais rimer avec rien d'autre qu'un adjectif qualificatif: ENSEVELIS....

Cette "vie" qui fait que nos squelettes sèchent déjà prématurément à l'intérieur de nos corps encore jeunes d'avenir ou de rien... .

Une "non-vie" dont les aménagements ne feraient guère que rendre plus insupportables les secondes que ne le sont déjà les minutes qui nous ont été programmées...

Oui, il s'agira probablement d'une révolution qui englobera avec elle pour ne jamais plus se taire, celle de tous les sens!Pourvu que nous ayons ne serait-ce qu'une nuit...une seule...
Mais même celle-là, on va se battre pour la leur reprendre!(S.K)

________________________
Un clin d'œil et de cœur à l'ami Léo. à toutes et tous les rebelles des temps qui viennent. A celles et ceux qui nous sont venuEs.

Repères : guerre-sociale

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9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 19:52


Temps d'harmonie, ruses du système, réalité et fonction de la lutte des classes (zaz)

 

{{1° Le rêve de l'harmonie}}

 

En a-t-on rêvé du "Temps d'harmonie" ! Avec les anarcho-syndicalistes,  libertaires, communistes prolétariens ! Le tableau de Signac impose d'abord un très profond silence :  Tant de souffrances pour atteindre à ce bonheur si simple !

 

 "Au temps d'harmonie" : Paul Signac

place Clichy 1887
-[->http://raforum.info/article.php3?id_article=3789]

 

L'incroyable ironie de l'histoire tient à ce que c'est le capitalisme qui nous l'a finalement "filé" (nonobstant certes des pinaillages de retard). Avec tant de récompense ! : le nec plus ultra dans la consommation, les magasins dégorgeant de biens, les strings débordant du pantalon des filles.

 

Donc le mur de Berlin, l'URSS méchante tombe, c'est le ouf de l'abondance, la société aux pommes et sans classes, la fin du tragique saignant !  Nous sommes devenus humains et très civilisés. Putain, mais qu'est-ce qu'on fait !? on planque aussi sec le couteau qu'on avait entre les dents, on renonce à la Révolution, on ferme le guichet gênant de la lutte des classes.

 

Là, t'as des tas d'économistes professionnels qui apparaissent pour en remettre. C'est la surrection de Sciences-po ! Ils nous instruisent dans la scientificité, fini donc le romantisme.

Si {{q}} est la quantité de produits (le nombre d'unités produites) et {{n}} et {{k}} respectivement les quantités de travail et de capital alors : {{q = f (n, k)}} est la fonction de production.

Bon, tu sens combien Nobel est contre "tes" premières puérilités personnelles non-mathématiques qui n'étaient pas fonction de la fonction de production ! Au 12 e siècle, peut-être ? du temps des moines et curetons chrétiens on aurait pu concevoir une science élaborée du partage coopératif entre les hommes mais ça c'est du passé. Comment faire du fric avec la production ? ce fut la première question. Comment secundo faire du fric avec du fric ? la seconde. Comment même faire du fric énormément  sans fric ? fut la troisième. Juste avant la crise, rien qu'une semaine avant, on était assez sur le point d'y être bien. Crac, un truc stupide a fouaré quelque part !

Eh bien ! on n'est pas là pour vous parler de la crise, la crise mondiale. Dans la crise mondiale tout se passe comme si tout était ("Comme si, " a-t-on bien dit !), comme si donc tout était un truc un peu non-dit entre l'Amérique et les Chinois. Si vous n'avez pas pigé, il va falloir qu'on reprenne la question (on vous en avait longuement parlé pendant l'été mais vous bouffiez alors du Han au profit du free Tibétain bouddhiste (à juste titre peut-être ! mais c'est pas du tout incompatible !).

La deuxième clé pour comprendre les choses se rapporte au "Système". On en restera à la France à titre d'exemple pour être plus concret.

{{2° Les vraies ruses du système}}

 

Le système général, volontairement on lui donne pas de nom, le système général même particulier a des principes généraux. Un système veut tout simplement persévérer dans son être, c'est aussi élémentaire que ça. Le plus commode pour lui évidemment est tout simplement de se reproduire, c'est sa première finalité (et puis "zut euphémique ! ou "merde" ! c'est aussi une sacrée commodité ! (Ca ne veut pas dire qu'il se reproduit forcément bêtement et sans ruses, mais bon s'il le peut d'abord il préfèrera la voie ordinaire par économie d'effort et d'énergie. Il peut aussi chercher plus compliqué et madré !)

 

Où veut-on en venir ? Pendant que tout le monde buvait encore du petit lait dans l'euphorie libéro-capitalo-démocratique du post-communisme, le système sympa-pas-si -sympa-que-ça oeuvrait discrètement dans l'ombre. Evolution dans le système n'est pas évolution du système, hein ! Ca cogitait !

 

Sur ce, bien sûr, Sarko arrive. Sarko ne sort pas de rien, préparé en douce par d'autres depuis un bon moment : le sarkozysme ultra-bougeant est en réalité un pur conservatisme (peut-être même un quasi-réactionnisme !). Sarko veut donc réformer tout (la question de savoir si Sarko est un conservateur lui-même est une question stérile, complètement inerte. De Sarko lui-même on ne peut exprimer qu'une chose relativement certaine et un peu stable dans sa pensée, Sarko se prénomme Nicolas !)

 

Le conservatisme de Sarko a bien sûr pour arguments majeurs : Rationalité, Efficacité, Justice (je sais le dernier fait toujours rigoler, mais on peut-être ici sérieux sans être tristes !)

 

En réalité il était bien démarré. La tâche qui lui était en haut lieu confiée ne pouvait plus rater. Crac ! comme on l'a déjà dit la crise débarque que personne n'attendait !

 

Sarko se retrouve avec sur les bras des tas de machins engagés et tout à fait inappropriés : L'enseignement supérieur, la recherche, le logement, la réforme du syndicalisme, des retraites, le travail des jeunes et le travail des vieux, le permis de conduire, l'abonnement des mômes à un journal, ou pour entrer dans les musées, la futile Fustice, la police, les pompiers qui courent dans Paris avec des tuyaux. On arrête sinon on n'y arrivera pas.

 

Il y a aussi d'autres chose essentielles qu'on abordera plus profondément ci-après dans la rubrique lutte des classes.

 

{{3° La fonction secrète exacte de la lutte des classes}}

 

La lutte des classes avait disparu dans les mots, elle est revenue partout dans la réalité. On doit cet exploit peu banal à la droite UMP, et à son activisme rétro. Ah les revanchards ! Ah les passionnés ! Il est faux de croire que la droite ne lutte que pour ses intérêts, elle les sacrifierait en cas de besoin pour ses passions. Etre de droite est de l'ordre d'abord de la personnalité, de la structuration du monde dans son esprit, de la structuration du monde dans les faits.

 

La France n'est nullement démocratique si ce n'est par affadissement du mot. Etre de droite c'est être viscéralement allergique à l'égalité, c'est être foncièrement opposé à un ordre non scrupuleusement hiérarchique. Platon était contre la démocratie cinq siècles avant JC,  Leo Strauss l'était aussi vingt siècles après.

 

La hiérarchie permet d'avoir barre sur l'autre. Par l'exploitation économique de la plus-value à son profit. Par l'encaissement de toute position un tant soit peu dominante. Les classes et les castes  défendent leurs positions bec et ongles, leur dominance doit tout à cet ardent combat discret de tous les instants et de tous les détails.

 

La lutte des classes est ce jeu là. La classe de masse en a moins claire conscience que la minorité active prédatrice car déjà les choses lui sont racontées autrement.

 

La lutte des classes n'est pas seulement dans l'accaparement capitaliste. La lutte des classes est dans tous les accaparements. Vos élus sont des prédateurs. Vos hauts fonctionnaires sont des prédateurs, vos artistes les plus aimés sont aussi - quel que soit leur talent- des prédateurs. L'écrivain de votre admiration est un prédateur aussi.

 

Oui mais si tout le monde est prédateur, c'est dire que personne ne l'est de façon privilégiée !

- Faux ! la prédation de classe suppose une solidarité des prédateurs. La classe des proies n'a pas ce savoir-là.

 

La lutte des classes se perçoit, pour qui a des yeux, dans la pratique et dans les discours. Plus tellement visible au fond à force d'être "normale", ces derniers temps elle s'est lâchée un peu. 

 

La gamine, beauté au nez, qui sort de la boutique avec des sacs pour mille euros : lutte des classes !

 

Le monsieur sérieux,  plus vieux que son âge, qui a le cartable un peu usé de papa : lutte des classes.

 

Le brillant bonnard qui vaticine dans son portable : lutte des classes aussi.

 

La lutte des classes n'est pas seulement l'inégalité douteuse au profit de tels ou tels. La lutte des classes est la corde essentielle du système : Classement des grands écoles dans les journaux, discours paumé de l'excellence, première année de médecine...

 

Eh bien c'est une bonne nouvelle ! Puisque la lutte des classes est revenue, que voulez que l'on fasse, eh bien on va la reprendre, on aime tant ça !

 

{{Conclusion}}

 

Il doit y avoir de l'humour ontologique dans les choses de ce monde. Que la Ligue Communiste Révolutionnaire prenne une place probablement décisive aujourd'hui en empruntant un autre nom en dit plus clair que les meilleures démonstrations.

 

"Sarko parlait officiellement jeudi dernier pour apaiser les inquiétudes des Français. Avant de commencer, nous on pressentait que ça faisait de trop et c'était pas une bonne idée. "

 

Chacun a pu constater l'ampleur des dégâts au petit matin. Le pathétique se lisait sur les gueules mêmes de l'UMP : "Condoléances, les gars ! Sincères condoléances ! nous on est les seuls sans doute à s'être vraiment marrés.

"Au temps d’anarchie" : Le peintre impressionniste Paul Signac


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Paul Signac "Au temps d’anarchie" (1895)
Paul Signac. "Au temps d’harmonie" (1895). Hôtel de Ville, Montreuil (Paris).

 

 

 

*****************************************

{{Alain Serge Clary et les Inoxydables philosophes de l'Ocséna vous saluent bien ! }}

 

................................................

 

{{{Les Pensées zaz de l'Ocséna}}}

{{Ocséna, Organisation contre le système-ENA et pour la démocratie avancée}}

-[-> http://ocsena.ouvaton.org]


--
http://nosotros.incontrolados.over-blog.com/"les amis du négatif à l'oeuvre".
http://les-batisseurs-d-abimes.over-blog.com
.http://taz-network.ning.com/T@Z : Territoires Autonomes Zymotechniques
/LESAMISDUNEGATIFALOEUVRE  
mail@taz-network.ning.com
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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 11:17

Bonjour Les potos....,

De nos jours rien décidément ne va bien.D'ailleurs j'ai pris de bonnes résolutions ce matin, je crois.
Je vais me refaire très vachement vache!


En effet, "les amis du négatif" perdaient semble t-il un peu de pêche au point d'être en passe de devenir "les amis du négatif du négatif" (positifs donc, voire "infréquentables de mon point de vue!") en particulier en oblitérant les nécessaires critiques que mérite -entre autres- notre "extrême ultra gauche" ...ou ce que l'on voudra.

S'il est rigoureusement exact que nous avons avec la Droite la plus stupide du monde la Gauche la plus résolument conne d'europe, il faut bien convenir aussi et sans complaisance que du côté de toutes les "extrêmes" nous sommes particulièrement vernis à égalité....

On se demande même non seulement comment des gens pareils -tous confondus- arrivent à se vendre et tout autant quels sont les cons encore capables de bien vouloir les acheter!


De ce point de vue là l'étonnement est profond!

Repères : chronique-des-impostures

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31 janvier 2009 6 31 /01 /janvier /2009 02:24
Samedi 31 janvier 2009

Les Bâtisseurs d'Abîmes  écrivant une lettre d'insultes au Sultan Nocolaï Sapornapartov Ier
Ilya Repine, 2007-2009
toile, 2.03 m × 3.58 m
Musée des Territoires Autonomes Zymotechniques
par ... publié dans : TERRITOIRES AUTONOMES &ZYMOTECHNIQUES communauté : Les bâtisseurs d'abîmes
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