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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 11:23
LES AMIS DU NEGATIF A L'OEUVRE
Les paradoxes et dégâts collatéraux de la libido en politique. AUBRY ZEBU...SEGO: ZOBI!
Les paradoxes et dégâts collatéraux de la libido en politique. Petite branlée générale rue de Soférino et quelques cris d'orfraies...

Les limitants "socialistes" assez libidineux mais avertis des risques qu'ils encouraient en votant pour Ségolène Royal qui indiscutablement ne manquerait pas de vieillir et de perdre de son sexe à l'appel, d'une part, et de décevoir dans la "concoctation appliquée" d'un programme dont les "fondamentaux" sont situés à la droite de ceux de Jésus Pétain, Maréchal de sont état, d'autre part, mettant leur libido en berne en votant en faveur de Martine Aubry se seront montré prudents, sages et pragmatiquement durables vu que sur ce plan-là aucune déception n'est à redouter si ce n'est d'avoir à porter un slip "wonder-boules"(lire le joli billet de Isabelle Alonzo -plus marrante que les deux impétrantes suscitées- dans le Siné-Hebdo de cette semaine) pour donner un peu le change, voire un vague aperçu de désir en trompe l'œil.

Oui Martine Aubry aura été élue Première secrétaire du P.S parce que, nullement susceptible de faire bander les masses (populaires ou non), elle ne pourrait donc faire débander personne non plus.

C'est acquis, et les acquis papa, ça ne se commande pas!

Entendons-nous bien, nous ne stigmatisons pas les limitants ayant voté Aubry, ce sont probablement de vrais queutards dans leurs foyers, mais des queutards prévoyants, justement qui, s'ils courent de ci de là le guillet-doux, ne parieraient certes pas une érection sur la Maire de Lille, rejetonne brute de décoffrage de Jacques Delors.(autre personnage bandant de la seconde mi-temps du 20eme siècle tout comme Strauss-Khann, Fafa, Moscovici, suivre la flèche!)

A l'inverse, mais quasi aexéquo, ceux qui auront voté Sarkolène Royalsy, seraient plutôt des aspirants queutards contrariés et autres bande-mous souvent esseulés soulageant de leurs mains gauches(ils en auraient plusieurs!) une conscience de classe formâtée entre sabres et goupillons ("coupe couillons" dit-on aussi parfois) dans les lunettes des W.C comme les vieilles bigotes et les prêtres le faisaient en leur temps et en cachette, contemplant, lippes pendantes la photo fringante du Maréchal ou du Pape de cette époque si tristement épique.
Hardis et ne doutant de rien, pas même des ravages pernicieux de la ménopause ou des vertus comparées de l'éducation passées aux mains des militaires, des gendarmes (Voir les flics/gendarmes investissant une école avec maitres chiens et tout le toutim, par El Sinsé dans le fil d'info!) et des curés, armés de déambulateurs, ils se sont rués comme de vraies roulures dans les isoloirs de leurs fédérations et ont opté pour la sémillante Ségolène en chantant à tue-tête " les roses blanches pour maman".(et "mezzo-voce": Maréchal, nous voila!).
Dans certaines fédé, on aura même relevé ici ou là des traces de salive et de foutre sur quelques bulletins de vélléïtaires de la chose.Un type complètement défoncé au viagra aurait même transpercé l'œil de son icône d'un coup de pénis siliconé transporté par la ferveur...

Las.Sur les coups pas tirés, aux environs de quatre heure du mat' tombent les résultats et la bandouillométrie se prend un coup de tatane:
Les cons seraient à 50/50 à un poil de bite près...avec une courte avance pubienne pour la matoise de Lille devant la "rapeuse du Zénith"...Colère devant les grilles du PS, rue de Solférino, courtes empoignades entre "camarades unis" réciproquement accusés de fraude et se gratifiant les uns et les autres de tout un assortiment d'épithètes recherchées du côté couillocrates...

LE PS Découvre la fusion à l'eau tiède.

Pas l'émeute quand même...dommage!
S.K



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Repères : chronique, des, supercheries

1 Commentaire

LES AMIS DU NEGATIF A L'OEUVRE Commentaire par LES AMIS DU NEGATIF A L'OEUVRE Il y a 3 minutes
Supprimer le commentaire Il faudrait être aveugle pour ne pas voir la dimension people, sexiste, adoptée en politique ces derniers temps. Depuis le sémillant Obama qui sur son rival bushiste décati avait indiscutablement l'avantage de la jeunesse et de l'avenant...Bien que certains considèrent que politiquement il serait tout de même situé à la droite de l'UMP, ce qui ne fait pas très "d'jeun's"..Passons. La communication en politique se ferait au culte des apparences "sexy"...Une Carla dopée à l'amour, un président en short joggant par ici,Modèle Francois Léotard dents en plastic, une Ségolène déguisée en rapeuse funky au Zénith s'étant affranchie de son rondouillard de mari ringard à souhait enfermant sa bedaine de bureaucrate dans un costard trois pièces...Tordant !
Nous avons voulu répondre aux évènements récents (Reims de Reims!)en nous inspirant du ton général...
Seuls les "thonnards" s'obstineront à voir du sexisme dans cette parodie soignant dialectiquement le burlesque d'une situation, en fait bien affligeante pour nos contemporains réformards....Hé,hé,hé,hé....

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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 13:32
Vendredi 21 novembre 2008

RAPPORT SUR LA CONSTRUCTION DE SITUATIONS. (N° 2. (LILLE:1977). :EXT/ -1.

LES AMIS DU NEGATIF A L'OEUVRE

Prolégomènes à la rédaction d'un rapport N° 3. sur la construction de situations:"De la contradiction".


RAPPORT SUR LA CONSTRUCTION DE SITUATIONS.
(N° 2. (LILLE:1977).

ET SUR LES CONDITIONS DE L'ORGANISATION ET DE L'ACTION DE LA TENDANCE SITUATIONNISTE INTERNATIONALE
(par l'Agence pour l'Auto-suppression du Prolétariat. A.A.P-1977).
"


"Le principal défaut, jusqu'ici, de l'activité matérialiste de l'I.S (Internationale Situationniste) - par exemple en ce qui concerne la création de situations et l'Urbanisme Unitaire - est que l'environnement social, la réalité historique, n'y sont saisis que sous la forme d'objets, d'ambiances et de leurs répercussions passionnelles mais non en tant qu'activité humaine historique, non en tant que pratique, de façon révolutionnaire..

C'est pourquoi l'aspect actif y demeure idéaliste, car l'activité humaine, historique, n'est saisie que dans sa manifestation matérialiste grossière.


Il s'agit d'attaquer l'aliénation, non dans ses manifestations phénoménales, mais à sa racine.".

Guy Debord.
Débat d'orientation de l'ex-I.S.

________________________________
LA SAINTE FAMILLE

Nous jugeons l'époque, l'époque nous juge. L'époque est tellement révolutionnaire et encore si peu à notre goût. Nous ne pouvons nous en prendre qu'à nous mêmes.

Notre volonté historique n'a de comptes à rendre qu'à elle même. La critique en acte de l'aliénation est son principe et son garant essentiel.
L'ennemi est dans la place. Au spectacle de l'insatisfaction correspond le spectacle de la critique.
La confusion partout présente, l'urgence de clarifier radicalement la question sociale rendent absolument centrale l'application de la critique du spectcle à l'organisation révolutionnaire. Car tout est organisé, mais contre nous. Il nous faut savoir organiser l'organisation. Ainsi, il ne s'agit plus aujourd'hui de savoir ce qu'il faudrait aux révolutionnaires pour devenir situationnistes, mais de combattre ce qui fait qu'ils ne le sont pas encore.

Que l'époque deviennent foutrement propice aux activités des situationnistes, voila qui constitue désormais une banalité. Mais le fait qu'elle le soit encore trop souvent sans nous, en dit long sur le retard que nous avons encore à combler, ainsi ainsi que sur la capacité du spectacle à se survivre au sein même de sa dénonciation.

Le milieu révolutionnaire présente contradictoirement et la tentative de dissolution radicale du spectacle et le spectacle le plus moderniste, le plus concentré.

Cette contradiction est tout aussi bien réelle que spectaculaire. Ce n'est qu'en expérimentant les formes les plus modernes de l'aliénation, la formation incessante de rôles toujours plus subtils, plus dangereux, que la critique révolutionnaire est contrainte d'élargir son domaine à toutes les manifestations de la vie historique.

La désaliénation ne suit pas d'autre chemin que celui de l'aliénation.
______________________

C'est dans cette prospective que nous nous proposons de critiquer et de dépasser toutes les formes de la fausse conscience organisationnelle, de la politique révolutionnaire au quotidiennisme qui sont les deux versants de la même aliénation, voulant soit le communisme sans l'humain ou l'humain sans le communisme.

Ces deux weltanschauung spectaculairement antagonistes se retrouvent dans la même mystification: l'une comme l'autre ne saisissent et ne montrent le manque à vivre que comme généralité.
L'une cache sa vacuité totale derrière une conception de l'histoire sans sujet, l'autre du sujet sans l'histoire.

A l'immédiatime vide -car coupé du mouvement réel- du quotidienniste répond l'inadéquation totale de moyens organisationnels chez le "politicien révolutionnaire", leur totale incapacité à reconnaître le où et le comment du négatif à l'oeuvre.

Ils ne sont pas seulement les objets de l'abusement spectaculaire, mais aussi les derniers garants de l'occultation de la question sociale.
Quotidiennisme et politique révolutionnaire sont les deux pendants de la même organisation du réformisme de la vie, du refus d'organiser sa propre vie, de s'organiser soi-même; tous deux gardiens du mauslée de la réification de la conscience révolutionnaire, ils sont comme tels résolument anti-situationnistes.

La définition de la stratégie politique fut la suivante: Monte la-dessus , tu verras Montmartre.
La notre est: Ce que tu attends, tu l'as déjà perdu.


(Fin du premier épisode. A suivre, la semaine prochaine, avec: "L'auto suppression du prolétariat"...)

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Vendredi 21 novembre 2008

RAPPORT SUR LA CONSTRUCTION DE SITUATIONS. (N° 2. (LILLE:1977). :EXT/ -2-(Ré-édition:Nov.2008)

LES AMIS DU NEGATIF A L'OEUVRE
RAPPORT SUR LA CONSTRUCTION DE SITUATIONS. (N° 2. (LILLE:1977). :EXT/ -2-(Ré-édition:Nov.2008)
(Prolégomènes à la rédaction d'un rapport N° 3. sur la construction de situations:"De la contradiction".(les bâtisseurs d'abîmes.2008))


"Ne nous comprenant plus seulement comme objet mais comme sujet du processus social, nous savons qu'il faut nous nier pour nous réaliser, vivre le mouvement du "meurs et du deviens".

Quand le prolétariat énonce le secret de sa propre existence, il ne fait qu'énoncer le processus révolutionnaire de son auto-suppression, car il constitue la suppression effective de l'ordre actuel du monde.
Les prolétaires commencent à apprendre qu'ils ne trouvent la réalité de la théorie qu'en cherchant leur propre théorie dans la réalité, dans leur propre réalité.
Foutre! La connaissance de l'histoire commence pour nous avec la connaissance de notre présent, la connaissance de notre misère fondamentale: la misère moderne.

Prolétaires, l'époque nous impose d'être situationnistes ou rien.

La théorie révolutionnaire ne peut vivre et se communiquer que sur le terrain qui la produit: la critique en actes de tous les comportements aliénés, comme moment explicite de de la destruction de l'Etat et de la marchandise, dialectiquement liée au projet de la vie historique dans sa totalité.


Étant donné que le spectacle de l'insatisfaction accumule sur le projet révolutionnaire les pires contre sens et les pires mensonges, le concept même de critique implique désormais une rigueur absolue dans la critique des concepts, la preuve qu'ils sont bien contre ce monde;
Il n'y a de théorie pratique que la pratique de la théorie.

Ainsi il nous importe peu de ressasser indéfiniment que théorie et pratique, forme et contenu, en soi et pour soi et tutti-quanti sont inséparables.

Le fait est qu'ils sont séparés.

C'est plutôt sur la nature, le fonctionnement de cette séparation que nous avons à organiser la plus large indiscrétion, à y montrer à l'œuvre l'effet de spectacle.
Nous n'avons aucun acquis théorique à défendre, si ce n'est le sérieux dans la cohérence de la forme de la théorie.

De même que nous ne jugeons pas les gens seulement sur ce qu'ils disent ou pensent d'eux-mêmes, l'"étiquette" situationniste ne sert plus que de clochettes aux vaches qui voudraient brouter passionnément et meugler sans entraves.

Comme l'avait prévu "la véritable scission" , ceux qui n'associèrent à ce terme que la vague représentation d'un style d'expression, d'un mode de vie amélioré ou d'une théorie extrémiste ont fini par se lasser. Vae victis.

Peu nous importe de rester dans la mémoire des imbéciles sous le nom ou non de situationnistes.
Ce qui nous intéresse, c'est de créer des situations historiques. Comme disait Marx (manuscrits de 1977), il faut reprendre la tâche de l'I.S là où elle l'a laissée.


Nous nous proposons de créer des situations comme on reprend d'assaut le central téléphonique de la communication révolutionnaire, et de transformer en pouvoir réel ce qui n'était conçu que comme alternative à la culture et à la survie généralisée."


(A suivre, la semaine prochaine....)






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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 10:41
 


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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 13:07

**************************

{{Avertissement :}}

{{Comme le lecteur le sait déjà, la mention "zaz" accompagnant nos textes indique une manière d’écrire délibérément décalée, qui ambitionne par un éclairage oblique à plus de perspicacité dans l’analyse politique.}}

 *******************

La question est évidemment banale et on se l'est tous posée un jour spontanément, ne le niez pas !. Toutefois, pour la bonne méthode, faut commencer par le début, et donc d'abord  par la question pertinente venant en premier : qui, en politique, est exactement susceptible de cunnilinguer son prochain ?

{{1. A la recherche des supposés cunnilingueurs :  On pense bien sûr d'abord aux politiques}}

Si quelqu'un est susceptible de nous lécher le cul en ce bas monde c'est bien évidemment a priori les politiques. Les Grecs athéniens, qui n'aimaient pas du tout les euphémismes, même pas en version analogique, appelaient ça exactement les "démagogues". Eh bien cherchez aujourd'hui dans le monde français moderne, vous trouverez beaucoup de beaux parleurs certes, mais pas du tout de cunnilingueurs-démagogues du côté des politiques.

Avant on dit pas, mais récemment non ! Personne de nos jours ne songe à vous pousser le sphincter à l'extrême de l'acmé, aussitôt après du moins qu'il est officiellement élu. Il y a même en fait dirait-on une sorte de mode anticunnilingueuse qui a démarré for the first avec le très regretté Raymond Barre. Barre avec toute sa rondeur, et aussi bien des supporteurs par la suite, vous l'a on ne peut plus clairement dit : Français, vous êtes des enfants gâtés ! vous vivez au-dessus de vos moyens, à crédit, vous tirez des traites sur l'avenir,  sur le dos de vos enfants, vous gabegiez la planète qui est notre maison commune, vous salopez même l'eau, l'air, les océans, vous portez atteinte gravoss à la réserve halieutique, à la diversité des espèces, etc. etc.

La strophe des temps les plus récents chantait comme on le sait la question du déficit, de la dette, des retraites..., on chantait avec Baverez et beaucoup d'autres de la grande manécanterie économique. Un dernier thon, ministre un peu paumé, chais plus trop lequel, l'a -figurez-vous- chanté encore la semaine dernière dans les aéroports : qui fait qu'à présent tout Air France est en grève dans le monde entier, les deux hémisphères complets,  pour la bagatelle de perte de 100 millions d'euros. En tout cas régulièrement y en a aussi qui veulent arrêter les trains comme ça.

Bref, y a pas tellement donc de cunnilingi effectifs du peuple, sauf à la rigueur pour  telle ou telle relative minime fraction qu'on appelle minorité, à qui on veut faire momentanément plaisir. Mais la plus grosse  minorité que nous constituons tous, vous et moi, en tant que quidam-citoyens-souverains-et-en-réalité-rien : queudalle mais queudalle, pas de cunnilingi  ! 

Cette réalité triste appelle des réflexions qui selon nous n'ont jamais été menées au bout. Les Français sont peut-être essentiellement masos on sait jamais ! à titre d'hypothèse, pourquoi  ne pas le supposer ? En tout cas, à notre adresse, Nicolas Sarkozy, soyons honnêtes, ne nous a jamais rien franchement promis. Excepté des "réformes". Or les réformes de Sarko faut quand même s'accrocher pour imaginer qu'on va y prendre quelque part notre pied. Si Sarko était payé à la passe, il ferait pas son beurre.

En face, t'as la "gauche",  enfin le PS. Tu prends le Congrès de machin, Reims, nous on veut pas le dénigrer comme tout  le monde systématiquement le fait. Le truc des motions tout ça, ok, ok ! rien à dire, c'est leur trip à eux, peut-être même que ça vise à terme à bien. Bon ben quand même là, direct, sur le morceau, pas de quoi mouiller d'avance. Sûr, ils oseront pas cette fois nous promettre du sang et des larmes, mais bon nous annonceront-ils plus ?

La première idée ici à l'Ocséna c'est que peut-être il faudrait se ressaisir, juger enfin immédiatement sur les purs effets d'annonce et sur la pub politique. Il faudrait toujours chercher le mieux disant même si on ne le croit pas tellement.

R :Hum ! ce serait quand même trop con ça !

Est-ce tellement utile et subtil de s'aligner sur le moins disant comme on le fait, sachant que le moins disant n'est même pas encore dans sa décote finale,  dans l'étiquetage de son dernier discount ?

A l'expérience de ces dernières décennies, on mesure qu'on n'a rien à perdre désormais à suivre les plus démagos d'entre  nous puisqu'à suivre les non-baratineurs carrés du "parlé vrai", on a visiblement perdu énormément plus que prévu. La seule condition pour ne pas être complètement vains dans cette attitude pragmatique nouvelle c'est d'établir un arsenal de sanctions complet pour bien border les choses. On reviendra sur ce last point, en attendant réfléchissez ! réfléchissez !

{{2.  A la recherche des supposés cunnilingueurs :  On pense ensuite bien sûr aux citoyens}}

Sans le discours sur la Servitude volontaire de l'ami La Boétie, qu'un aimable blogueur a eu l'idée heureuse de nous remettre en mémoire hier ou avant-hier, on ne mesurerait pas pleinement l'ampleur de cette manie, de ce vice congénital humain : à savoir qu'il faut étrangement que nous flattions les grands, même quand ils sont trop loin de nous pour penser pouvoir en tirer quelque chose. L'humain est éminemment sensible à la belle allure, à la parure, à la dorure. Les princes au-dessus de la misère vivent en réalité pour beaucoup de la misère qu'ils dominent, on les pèse à leur poids d'or. L'homme individuel, quidam, péquin pense se grandir de ce qu'il estime être grand. Il pense s'embellir de la fréquentation du beau, il pense s'intelliger de la fréquentation de l'intelligence. Il ne faut pas chercher ailleurs que dans ce processus le blabla logorrhéen que nous tenons volontiers sur la belle pièce de théâtre entendue, le si beau film vu, le si beau livre lu.

L'homme est un être naturellement incomplet et infantile, là-dessus repose la simple idée qu'il faut élire des gens pour nous représenter à notre place. Jamais vous n'élisez votre semblable, vous cherchez toujours un très beau chat super-botté avec  pedigree. D'où il vient que certains tirent toute une carrière dans les assemblées, payés à 20 fois au moins votre pécule personnel. Sarko a eu son très beau temps de grâce, il remonte même encore paraît-il dans les sondages. Est-ce le fait d'une amélioration de votre sort ? de votre confort ? Nenni, mais il voyage beau, renforce le FMI, est le chef du G20, va virer la Tchéquie pour en occuper le siège pendant un an. Avec des pépites dans les mirettes, certains pensent qu'il pourrait porter le grand manteau de l'autre, vous savez, avec les abeilles.

Bien sûr pas ceux de gauche ! qui voient eux le manteau sur une chose plutôt de gauche. Bon ! va pour Ségo, Martine, Bertrand ça a un côté sympa assez marrant, mais certains, note,  feraient porter l'habit de lumière jusqu'à des lampadaires nettement moins lumineux, Hamon, Peillon, etc. Digression : Y a peut-être d'ailleurs là une idée forte à creuser. Dans une vraie démocratie le roi devrait peut-être être choisi toujours parmi des inconnus.

Mais basta, dans le cunnilingus populaire vers les élus, vers l'Elu s'il le faut, il est clair qu'il y a des préposés spécialisés : les courtisans ayant des intérêts immédiats sont les premiers : lieutenants des partis, préfets, sous-préfets, directeurs d'administrations centrales ou mieux encore des cabinets.... Les journalistes sont les seconds parmi ces préposés linguistes et lubrificateurs. L'engeance des journalistes, ah ! c'est quelque chose ! Le seul point acquis du journalisme c'est qu'ils sont détestés et même peut-être carrément haïs par tous,.. surtout ceux de la télé. Enfin ! tout le monde espère les concernant qu'il n'y en a plus pour très longtemps.

Bon bref sans tirer les conclusions vraiment pratiques qui s'imposeraient assurément sans doute, on veut vous faire remarquer que pour le moment tout se fayote vers le haut mais jamais vers le bas. On regrette sans le dire le temps de l'Union soviétique CCCP, quand  le héros anonyme était travailleur de première classe, bûcheron, paysan ; faut-il que je te dise les héros de herde d'aujourd'hui ! On a quitté le dur et fier prolétaire mal rasé à la gillette jaune pour le mignon vêtu serré de près !

Ce qui paraît évident ici dans notre deuxième mouvement, deuxième mouvement que vous n'aviez jamais même tenté, c'est que tu vois, la démocratie : "Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple" (article 2 de la constitution), eh bien c'est totalement sorti de toutes les convictions, sorti de la carte du tendre, je ne sais pas ce qu'il faut dire, sinon carrément qu'il faut y revenir. Revenons aux fondamentaux comme on dirait au rugby.

{{3. A propos des stratégies globales, directe et indirecte}}

Donc voyez l'étrange situation ! Pour preuve de leur sérieux, les politiques ne nous promettent rien depuis Henri IV qui avait lui la spicy  poule au pot, ils ne nous promettent rien  d'un cunnilingus-trois-étoiles-haute-cuisine qui serait accessible démocratiquement à tous et notamment aux plus petits bientôt, mettons dans une-deux générations. Pour l'heure, ce n'est même pas l'annonce du simple bouillon Chartier destiné à tous les Français. On ne nous annonce que de la tambouille médiocre quand ce n'est pas la pire. Clémenceau nous avait déjà fait le coup en 14-18, 2 millions de morts pour prouver nos qualités, autrement dit se poiler.  En 40-45, le coup était pour les Anglais, Churchill, nous cette fois heureusement on avait pas forcé.

Donc quand tu n'es pas, in the principe, le destinataire final heureux de toute la finalité politique, que peux-tu faire ? Reste l'insulte pour compenser, ou bien alors l'humour en théorie, or les deux ne valent à peu près rien en termes d'efficacité concrète. Nicolas Sarkozy s'est amarré au-dessus de toutes les injures et quolibets (excepté le très récent "casse-toi pauvre con" pour lequel il a fait un procès). Ségolène aussi, elle a survolé  toutes les épithètes yc. les moins sympa. Le "la folledingue" des Guignols de l'info ne l'a pas troublé plus que ça ! Y a quelques années nous on avait surnommé un copain "l'infâme", il avait supporté 9 mois le malheureux ! après il nous avait délégué une ambassade pour qu'on change l'indigne qualificatif,  il en souffrait trop. Ségo ne souffre pas.

Donc laissons l'insulte et/ou l'humour qui n'ont jamais marché ! revenons aux fondamentaux comme on disait. Qui, quel homme, quel parti pouvait nous y ramener pour de vrai y a encore pas longtemps ? Tout le monde a pensé au PC, certains en plus ont pensé au FN, appelé d'ailleurs les populistes ce qui laissait de l'espoir. Que veux-tu ! qui pouvait croire que les populistes allaient te faire du bien direct en démarrant par Jeanne d'Arc et en louant Pétain. Quant au PC, un jour aussi ils en ont eu marre. Marre au jour de l'an d'apporter des oranges, des chaussures de foot et des papillotes en chocolat à des gosses et des  parents qui bavassaient sur Staline pour avoir lu des trucs pourris dans les journaux parigots capitalistes.

Donc primo il faut revenir sans complexe à la notion de la promesse faite pure et simple, deuxio il faut récuser la stratégie indirecte dont tant de penseurs avisés te disaient tant du bien avant la crise.

La stratégie indirecte est celle qui débite, débitait  : il ne faut pas partager le gâteau tel qu'il est car il n'est pas encore assez gros, il faut d'abord l'augmenter. Et ceux qui peuvent l'augmenter ce sont bien sûr les entreprenants entrepreneurs.

Bon ! bon ! la galette a grossi,  ta part a vachement diminué. La leur non !

La démarche première en politique doit donc de nouveau être très prosaïque : emploi, SMIC, RMI. Tiens, la rémunération des députés devrait être utilement calculée en pourcentage du SMIC, 2, 3, 23 fois, 230 fois le SMIC. Même à 230, je t'assure que chaque année ils n'oublieraient pas de l'augmenter.

Soyons de nouveau concrets, simples et réalistes (bis repetita !).

Ok, la vie civique ne peut se réduire à de telles basses considérations pécuniaires, nous assèneront les plus subtils argumentateurs : Il y a des choses immatérielles qui s'ajoutent possiblement à notre viatique ti-à-petit. Ok va pour l'immatériel ! Quoi qu'il en soit, Marx qui avait l'esprit près du chapeau comptait d'abord quelques fondamentaux incontournables : manger, boire, dormir, se loger, se chauffer, éduquer ses enfants, assurer leur sécurité et celle de sa famille.

Nous serions reconnaissant aux aimables idiots qui nous représentent de commencer par ces questions dans la feuille de route proposée par leurs soins à notre acquiescement.  D'autres questions très estimables certes pourraient très bien venir après.

{{4. A propos de la hiérarchie des problèmes et de leur ordre de traitement}}

Il nous semble que le bon sens a été perdu en route quelque part. Peut-être certains problèmes avaient-il pu paraitre moins pressants. Si l'air devait venir à manquer demain, respirer serait bien sûr le problème à considérer en premier, avant d'autres sur la fiscalité, l'UE, la justice ou la culture. Des dérives sont venues dont nous aimerions avoir la preuve qu'elles n'ont pas été calculées, car le déplacement intellectuel des problèmes déplace en douce leur traitement réel. 

Considérons par exemple l'intérêt porté par nos soins à nos minorités. Il nous honore, il est certes encore insuffisant, il est en même temps une distorsion souvent flagrante : la minorité la plus importante dans ce pays, on le rappelle, est la minorité majoritaire de monsieur tout le monde. C'est sans doute la minorité sur laquelle on a le plus craché sans s'en priver.

La contrepartie de ce fait est que bien des minorités ont chuté dans l'imagerie interne de la grande minorité majoritaire : on évoquait les journalistes de la presse ou la télé, on ne dira rien sur les politiciens, pour lesquels le mal va très loin : mais il y en a d'autres qui échappent sans doute encore à votre analyse pour le moment.

Tous les chanteurs pris finalement pour des crétins (ça plonge), tous les acteurs-actrices dont on nous a souvent très rituellement gavé (ça va plonger). Mais savez-vous bien, même en cette période des prix littéraires, que bien des faiseurs de bouquins sont regardés avec un due distance. On prend leur livre, on peut le faire dédicacer, on ne les fréquenterait qu'à contre-gré, beaucoup d'auteurs sont regardés comme des demeurés mal grandis qui viennent de sortir un mémoire gentil ou une thèse d'enfant à l'université (ça va pas tarder à boire la tasse aussi le livre !). 

Tout s'est énormément dégradé. A ne pas répondre aux besoins des citoyens, à les balader dans les médias, à ne pas respecter la hiérarchie de leurs besoins les plus vitaux, à jouer sur des mots avec des problèmes surannées, le citoyen a largement de son côté restructuré d'autorité. La crise arrive, ben ouais, il était temps. Ça va permettre de réajuster beaucoup dans la société et dans les têtes. 

5. Conclusion : cunnilingueurs vous avez été trop négligents par trop longtemps

Maintenant c'est sûr,  vous allez probablement le payer, que vous soyez allés pour les uns à l'assez stérile G20 ou pour les autres au plutôt bécile congrès de Reims.

Bon sang ! ce n'était pourtant dans le temps qu'une affaire de bons gros constants cunnilingi, il fallait s'appliquer  ! Je ne suis  pas sûr, tous,  que vous puissiez rattraper in extrémis le temps perdu : On ne peut pas comme ça se remettre au lit comme si de rien n'était après une si longue et dramatique négligence faite dans la démocratie.

Politiques, gens des médias, artistes et penseurs de mes houilles, allez vous faire foutre maintenant !

............................................................

 {{Alain Serge Clary et les Inoxydables philosophes de l'Ocséna vous saluent bien ! }}

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 18:37
Vendredi 14 novembre 2008
LES AMIS DU NEGATIF A L'OEUVRE
<b>Des raisons et des usages de sa B.A.L dans les Territoires Autonomes et Zymotechniques (TAZ)</b>

Des raisons et des usages de sa B.A.L dans les Territoires Autonomes et Zymotechniques (TAZ)

La boite à courriels dont chacunE dispose ici constitue indiscutablement un outils de discussion à peu près unique en son genre et laisse ainsi l'opportunité de pouvoir inviter des "membres" et autres amiEs à venir discuter d'un texte, d'un projet, de contribuer à son élaboration, décider de sa date de diffusion et dans quelles rubriques, (Fil d'Info, Bar, Agenda, en blogue, dans un groupe, etc.) voir sur d'autres sites...
(La formule "messages aux amis" est pour le moment limitée, hélas à 2000 signes, par message. et présente ainsi quelques inconvénients...à résoudre... D'où nécessite de se poster divers messages "en feuilleton" d'en supprimer autant après les avoir collé dans un fichier créé à cet effet...Un peu la zon quoi...Hey, ho...Doctors Sinsé, and Josh?au turbin!)

Le fait de proposer un texte à l'attention des "amiEs" ne subsume en rien un fonctionnement rédactionnel "pseudo-démocratik" se soumettant de près ou de loin à une forme de censure quelconque, à un vote, à un aussweiss éditorial puisque en effet, au delà du débat "en cache", l'auteur de la proposition pourra DE TOUTE FACON publier son "zinzin" sans aucune altération quand bien même les avis des participants divergeraient.

Ce seront les "lecteurs/trices" qui interviendront alors dans le débat "post publishing" en rédigeant leurs commentaires qui eux aussi ne sauraient être soumis à l'approbation, au "visa", de la part de l'équipe T.A.Z qui n'intervient ni ne se prête nullement au consensuel et hypocrite jeu de "modérateur/trice". (Jeu sordos en vigueur à peu près partout, ailleurs avec les mêmes arguties "précautionneuses" du genre -"Oui mais, il y en a qui...."). On s'en cogne!

La pratique est parlante.
Quelques unEs ont tenté ici de se taper un plan incruste à la thon. ReçuEs avec tous les égards convenables et cinglants de notre part, ils/elles auront tiré au large sans qu'il nous soit seulement besoin d'exercer la plus petite forme de coercition "administrative" d'exclusion.
Le verbe libre y tenant sa place , les claudicants du bulbe ne demandèrent pas leur reste et ainsi s'en furent.

Nous avons toutefois remarqué que quelques unEs, le plus souvent ne publiant à peu près rien (on les retrouve souvent en" vedettes") usaient et abusaient d'une clause leur permettant de "modérer" en "pré-publishing" les commentaires que nous serions les unEs les autres tentéEs de leur adresser...Ce qui s'apparente de facto à de la censure assez sournoise et outrancière...Cette formule , à l'origine, visait à remplir la fonction maintenant occupée par les B.A.L à disposition de toute personne inscrite sur les TAZ...
Enfin quoi, offrez une once de pouvoir à un thon et il se prendra aussitôt pour un mareyeur!!!

Nous soutenons que qui le veut doit pouvoir commenter et sans distinction ni altération tout texte ou toute personne de son choix...les quelques zozo qui n'auraient pas pigé ça sembleraient n'avoir pas pigé grand chose ...Même comme voisins de palier, ils demeureraient sans doute à peu près infréquentables...

Les désaccords éventuels sont toujours publics, argumentés, et courtois dans la plus grande part des cas de figure...

Mais il ne faut pas nous faire chier non plus:

Les thons étant tant thons, il est alors temps et tentant de ne pas se priver de hausser le ton.(dont acte souvent!)


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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 10:59
Lundi 10 novembre 2008

Qu'est-ce que penser ? (zaz)

 

{{Avertissement :}}

{{Comme le lecteur le sait déjà, la mention "zaz" accompagnant nos textes indique une manière d’écrire délibérément décalée, qui ambitionne par un éclairage oblique à plus de perspicacité dans l’analyse politique.}}

 

*******************

 

{{Abstract : Qu'est-ce que penser sa minable petite vie (moitié perso-moitié collective), si on considère pour y contribuer le maelström des idées qui naissent  en nous ou qui nous tombent de tous les côtés}}

 

************************

 

{{1. Sur le relatif état confus premier du concept de"penser"}}

 

Tu vois déjà si ça commence mal avec seulement trois mots, Qu'est-ce que penser ? : on en dit trop ou pas assez. Visiblement, si on se laissait aller du côté de la plus forte pente c'est à dire du complexe travaillé, on serait vite dans des choses ultra-sérieuses déjà essayées par le passé, par exemple  qu'est-ce que penser...  la littérature ? ou qu'est-ce que penser...  les mathématiques ? etc.   Là bien sûr ce serait du chiadé pour revue bimestrielle intello. En insistant ! pour rester raisonnable on pourrait faire tout simplement du Heidegger...  sur l'étant ! sur l'être, sur le on dit, sur l'inauthentique. Un truc se rapprochant peut-être de : Qu'est-ce que penser radicalement plutôt que razibus à la hauteur des pâquerettes ! (Ah, tiens comme ça, ça nous plairait finalement pas mal, mais basta !).

 

Bon ! donc comment résumer simple pour démarrer ? Notre réelle question devrait d'abord s'écrire sans doute comme suit : Qu'est-ce que penser politiquement, au sens le plus courant, c'est à dire qu'est-ce que penser la vie, la nôtre, plus ou moins collectivement engagée, où on pige, croit-on, tantôt tout tantôt rien, tantôt tout et rien..

 

Donc vous voyez que la question n'est pas du tout en premier, comme vous l'imaginiez peut-être, sur le fonctionnement électrique du cerveau, lequel marche apparemment même la nuit (Parce que, évidemment, si l'on prend large, on "cogite" même en mangeant son sandwich ou en faisant pipi.).

 

Donc qu'est-ce que penser ? Qu'est-ce que penser la politique sous le rapport de notre petite vie? ça nous renvoie aussitôt jusqu'aux journaux, la presse, la télé, la radio. Il est quasi impossible, même sur l'ile d'Aix qui est pourtant petite malgré Napoléon (à supposer que tu sois allé te perdre à l'ile d'Aix à cette époque de l'année), il est impossible de penser peu ou prou sans référence audits  journaux, web, sites qui sont de notre pratique habituelle. Bref, on ne pense pas sans les médias, on ne pense pas en dehors d'eux.

 

Si la pensée est réflexion, si cette réflexion est assimilable jusque dans l'extrême solitude nocturne à un dialogue avec soi-même (Platon dixit, à ce qu'il paraît), ce dialogue fait appel à tout instant à des apports vus-non vus, extérieurs, abondants. Le soliloque de la pensée a toujours pour fantôme la pensée venue d'ailleurs. Penser sous-entend toujours une dualité réelle ou virtuelle.

 

2 points à venir donc, qu'on annonce maintenant pour abréger ces inutiles prolégomènes et tes souffrances :

 

-Le penser, intrinsèquement avec les médias

-Le penser, avec soi-même, son ego.

 

{{2. Le penser, intrinsèquement avec les médias : labels scientifique et démocratique.}}

 

Abrégeons, abrégeons ! On s'est payé du Obama toute la semaine ! alors, abrégeons, abrégeons ! Nous aimons bien Obama, on peut l'aimer même abrégé (surtout maintenant que c'est fait). Il n'y a guère que les Guignols de l'info de notre point de vue qui ont été peut-être d'emblée à la bonne hauteur. Barack Obama, 44e président des Etats-Unis c'était, bien sûr, un événement historique, hautement symbolique, "considéré de considérable", et personne évidemment ne songeait parmi nous à moquer les larmes d'émotion de Jesse Jackson. L'événement dans sa pleine dimension était d'ailleurs spontanément reconnue par les rivaux, Mc Cain,  Bush même. Comme on pouvait s'y attendre, la France (french touch) en a fait un poil de trop pendant quelques heures, because le décalage horaire ou mental, on a donc marché dans de vieux champs de coton du sud à la télé, on a prié dans des églises de Harlem où on ne va ordinairement jamais, pour un peu on aurait fait des émeutes rétrospectives en plus petit. Et puis vite on s'est in extrémis rattrapé. Il était temps, "I have a dream" répété, répété, ça faisait un rien décalé, on devait pas non plus exciter d'éventuels cinglés  (Martin Luther King ça suffit bien, pour Obama, fallait pas la jouer lourdingue !)

 

On voit aussi que les plus hautes analyses, très compétentes, il faut le dire, ont été faites de ce très beau succès. Certes deux particulières n'ont pas été excessivement rediffusées, celle de l'Ocséna, first , celle des Guignols, secundo  : Obama, jeune et beau, ne pouvait nullement perdre contre le papy relativement sympa qui était son challenger. Il eût gagné même s'il avait été question entre eux de vendre seulement du mixa bébé (Ocséna).  La version des Guignols, incarnée par Mister Sylvester, exprimait en mots à peine voilés que le système de pilotage américain avait chiadement verrouillé les boulons et les chances de la partie pour arriver à ce que l'on sait et que tout le monde absolument souhaitait.

 

Mais revenons à nos moutons. Qu'est-ce à dire à ce stade pour ce qui est de notre pensée, qu'est-ce que penser ? là ici, en France, sous nos yeux ? il y a à dire que notre libre choix de pensée n'est toujours que second, qu'il vient largement après celui des rédactions. Avec les rédactions certes, on est toujours à deux doigts de n'importe quoi, mais elles s'en sortent toujours puisqu'elles sont à la fois, en entier, l'idée, l'impulsion de l'idée, la contestation éventuelle de l'idée, son engueulade éhontée et même sa répression ferme s'il le faut, éthique. La presse est en soi donc notre pensée et la vie même de celle-ci.

 

Il y a trente ans, du temps d'un glorieux floruit passé, un type sympa avait merveilleusement défini la chose ci-après : Qu'est-ce penser ? qu'est-ce que penser vrai ? voyez la précision ! Réponse : c'est premièrement, à table dans les bonnes maisons, penser selon le Monde.

 

Au fait, en ce moment où se tiennent de supposés états généraux de la presse, quelqu'un est-il venu vous demander quelque chose, à vous ? Je ne sais pas moi, n'importe, même par téléphone ? De votre pesant silence découle en vérité (CQFD) que la presse démocratique est la chose nettement la moins discutée  avant, pendant et après, qui soit au monde. La démocratie c'est la liberté de la presse et sa diversité, tu comprends pauvre blaireau que les journaux n'ont pas à valoriser ta modeste misérable opinion, puisque ton opinion, on te le montre, c'est d'abord eux qui te la donnent.

 

Pour être sûrs d'ailleurs que vous ne vous forgiez pas une opinion valable, ne serait-ce que par inadvertance, par vos propres moyens, ou  sur la base de pièces mises par eux à votre disposition, il n'y a jamais en démocratie moderne de libres débats organisés : ni sur l'enseignement, ni sur la recherche, ni sur tout ce que vous voudrez. Ce qu'on assimile au mieux à un "débat" est en réalité un lent travail savant, donc sans vous forcément, de collecte et de "pyramidation" des idées dont vous aurez de temps en temps, au mieux, un aperçu final dans des "dossiers". Journalistes, députés, chercheurs, scientifiques, il faut que ces gens fassent leur boulot, ils sont d'ailleurs payés pour ça.

 

La pyramidation est cette lente élévation-élaboration, vers la quintessence de l'esprit, chacun n'a pas le droit comme ça de parler sans justification, sans accréditation,  de ce qu'il veut. Qui es-tu toi qui parle ? Donc le journaliste généraliste, assez incompétent il faut le dire, le journaliste rapporte toujours, c'est sa carte bleue à lui, le propos du scientifique qui a le mandat premier de la raison, ou du politique qui a le mandat premier de la nation. Pour les seconds on connaît, revenons aux gens de la raison.

 

Là, t'as, qui passent bien, les sociologues (les sociologues sont toujours bien labellisés dans les universités), t'as aussi plus librement mais pas mal du tout, les politologues. Oui, c'est bien, politologue, cool. Tu t'appelles Todd par ex, Emmanuel,  tout le monde normalement s'en fout, mais t'es politologue, bien sûr ça change tout. Tu me diras, tu t'appelles Peillon, Valls, ou n'importe je ne sais qui, t'aurais présumément pas la moindre chance, mais député, je regrette, ça  t'ouvre un droit tout le temps. Aussi souvent que tu veux. 

 

L'AFP à cet égard abuse à tout moment, même pour tout dire elle "apuse", elle "apuse" ! Tiens, qu'est-ce que je vois, hier, ou avant-hier, ce titre :"Fadela Amara. la France "a besoin d'une opposition construite". Tu te frottes les yeux, on ne peut pas écrire des choses a priori aussi nulles et stériles. Elle aurait dit, les extraterrestres existent, Dieu existe, ok ! Eh bien, L'AFP t'en fait 10, 20, 30 comme ça chaque jour, nuls à chier, ça influence, tous ensuite dans la presse te les reprennent. Bon, là c'est l'effet du label politique, on fermera les yeux, et puis Fadela est sympa bien que ministre, et en plus, elle, contrairement à la presse, elle n'est ni pute ni soumise. 

 

Bref, question "penser !", on se démerde par la force des choses avec ce dont on dispose. Ce week-end end, le Monde qui avait comme nous le pont du 11 novembre devant lui, le Monde nous a livré un "dossier" Obama. Bien ! Tandis que la télé comme disent les Guignols braillait depuis deux jours : Obama c'est le christ ! Obama c'est le messie ! Obama est notre Sauveur ! le Monde avec les meilleures plumes à sa disposition te prouve que c'est relativement vrai mais avec caution scientifique.

 

Comment se forme notre pensée ? Qu'est-ce que penser ? Bon ben là, on regrette si vous êtes épuisés, mais on n'en a pas encore fini, vous permettez !?

 

{{3. Le penser, avec soi-même, c'est à dire avec son ego}}

 

La contrepartie du penser constamment à tout instant avec la presse, auquel on ne se résout pas tous forcément bien pour les raisons contestables que l'on vient de considérer, c'est naturellement le penser avec soi-même : autrement dit le penser en tête à tête avec soi, en vis à vis avec son exigu ego. Tout le monde se rend compte a priori des dangers possibles d'une pensée solipsiste qui ne respirerait que de son souffle sans augmenter sa capacité. Je ne sais pas comment les anarchiste justifient en théorie ce bonheur évident mais suspect d'être "l'Unique", l'alpha et l'omega, une pleine et absolue liberté sans doute limitée.

 

Mais peut-être est-ce là mal poser le problème, le poser trop simplement. Dans la réalité, la vie est toujours un déséquilibre avec soi-même, on est toujours sur un petit vélo, cesser de pédaler ne peut pas mener très loin si ce n'est dans le fossé. Il n'y a que dans la pratique du short commentaire réactif que le e-publishing fait un moment plutôt peur. Il est volontiers short le comm, ordurier, il est raccourci et fait souvent assez zonard réthoriquement parlant, s'il était moins réduit on en comprendrait mieux les extrêmes finesses et le long et infini raisonnement : que veux-tu, tu t'appellerais même Badinter, tu serais ancien ministre-garde des sceaux, ancien président du Conseil constitutionnel, que veux-tu dire en deux lignes à un gars qui te les gonfle : Va te faire chier débile profond, résidu de fausse-couche aggravé sur le plan cérébral ! Où on voit au passage, bien que ce soit certes une digression, que c'est bien une chance que Badinter ne réponde pas en son nom à tort et à travers dans tous les blogs à la disposition de chacun.

 

En fait le web est une révolution certaine et une chance probable, le citoyen si rien soit-il a accédé à l'expression et accédé ce faisant à la pensée élaborée. Tous les amis qui produisent 15 lignes construisent une pensée, c'est le premier mérite, elle peut être lue et partagée -en positif ou négatif- c'en est le deuxième, la voilà aussitôt au pot commun ou en délibéré.

 

Bien sûr, les textes des blogs ne sont pas écrit non plus dans une forme classique journalistique, heureusement ! On le leur reproche quand on est journaliste, c'est peut-être de bonne guerre. La forme fermée garantit, mais elle enferme aussi voilà aussi notre avis. La pensée piège souvent curieusement par l'ordonnance limpide même de la pensée, et par l'ordonnance propre du mot.

 

Nous observerons  rapidement deux choses à ce stade de notre pseudo-réflexion : l'incroyable diversité des moi : Dix moi donnent dix opinions diverses ou presque, sauf bien sûr lissage des pensées par la presse dominante qui n'est pas forcément la bonne panacée.

 

Penser ! merde alors que c'est compliqué. J'affirme, c'est gratuit, quoique pas démontré : on pense sans doute mieux aujourd'hui qu'il y a 20 ou 30 ans même si l'emballage paraît souvent brouillé et passablement instable. La pensée collective est peut-être brownienne et merdique comme elle a jamais été mais elle n'est plus aussi par chance limpide et propre façon ancienne ORTF, c'est peut-être là en fait la très grande avancée de notre temps.

 

{{4. Très brève conclusion : Entre deux infirmités}}

 

Entre la nullité relative de la presse et la nullité relative de notre ego, à tout instant il faut pourtant encore penser. Comment bon sang se démerder ? comment gérer notre petit entendement et nos petites vies ? Désespérément, primo, sortir la tête du purin ! Vaste programme, vaste programme ! 

 

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10 novembre 2008 1 10 /11 /novembre /2008 19:31
Lundi 10 novembre 2008
Chapeau l'artiste! on se souviendra avec tendresse de toi!!!

Voici un cadeau pour saluer son départ: ces images extraordinaires datent de la fin des années 50, et la jeune Miriam Makeba chante dans l'ambiance d'un shebeen, ces bars clandestins où la bière coule à flots, installés dans les maisonnettes de Soweto, le grand ghetto noir à côté de Johannesburg. C'est dans ce milieu que s'est forgée une musique des townships, mix de jazz et de ryhtmes africains. (Voir la vidéo)



Contrainte à l'exil en raison de ses prises de position, alors que Nelson Mandela et la plupart des dirigeants du Congrès national africain (ANC) étaient emprisonnés au pénitencier de Robben Island, Miriam Makeba a incarné à travers le monde la résistance à l'apartheid.

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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 15:29
LES AMIS DU NEGATIF A L'OEUVRE
LEVÉE PARTIELLE DE L'EMBARGO AMICAL A L'ENCONTRE DE SINE-HEBDO ((Le canal de Suez coulé!))

C'est reculer que d'être stationnaires ,
on devient  arriérés petitionnaires,
à force de trop merdosopher!
 Brûlons, brûlons compagnons de galères,
brûlons...la nouvelle gniaque est arrivée...
Que baisent les gardes-barrières,
tous les cars de pélerins n'étant  pas pulvérisés...
Debout, debout les passagères,
sans modération, offrons-nous les bas côtés...

Samedi 8 novembre 2008

LEVÉE PARTIELLE DE L'EMBARGO AMICAL A L'ENCONTRE DE SINE-HEBDO
((Le canal de Suez coulé!))

Après avoir constaté que le Siné Hebdo allait en s'améliorant, considérablement en dépit d'un écart bancal et extrêmement contestable figuré par une signature "supposément habile" à la Courneuve chez les Stals, une autre impéritie - encore sujette à quelques coups de griffes de notre part sinon de missiles, de machins à fragmentation, sous munitions et tout le bastringue sanglant opposant encore les satiristes et autres rigolards sardonniques et alcooliques dont nous sommes souvent les héraults sur la question forte du tarif des abonnements à se mettre dans le cul si on n'a pas un rond, "pineuse", nous autres, les Nosotros Incontrolados, les Amis du Négatif, les bâtisseurs d'abîmes, et autres TAZ peut-être, nous suggérons donc la levée partielle de l'embargo sur SINE HEBDO sur le pinard, la vodka et même le narguilé de même que tout ce qui concernerait les acquisitions hebdromadaires de ce vieux chameau! Jusqu'à plus soif! (IL NOUS ARRIVERA D4APPORTER NOS VERRES ET NOS BOUTEILLES LE CAS ECHEANT!)
Ce qui n'est pas rien! Cela va de l'en soi et du pour soi. Les potes du site TAZ, les ZAZ et autres trublions "presse-pus" et par extension des signataires de cet appel, sont invités à se joindre à nous sans trop barguigner... Si d'aventure nous venions à boire ensemble il faut savoir qu'il va faudra savoir trinquer: nous sommes des durs à essorer!!!
Nous ne manquons pas de rappeler tout de même que les méthodes préconisées ici ne portent guère que sur la festivité hebdomadaire qu'il y aura à se procurer Le "SINE..."au moyen de la chourre, de la chourave, du "lu par dessus l'épaule", du bordel dans les kiosque-Fnac, de la "lecture basquette", de l'arrachage du Siné (en terrasses de trocson chauffées ou non) là où il se trouvera...Pour l'heure, nous réservons la question de notre appel à un abonnement:
Faut quand même pas déconner!

Il faudra bien que nous soit démontré que le Siné Hebdo n'est pas un "Obama temple" de la contestation...

Allez, quoi: on est une bande de vieux degueulasses, mal polis, mal élevés, sexographes, ivrognes festoyeux, libidineux libérés contrairement aux culs-serrés, et on se fend la gueule entre le Calva et le Poiré!!!



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Repères : taz

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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 19:28

MOBILISATION GENERALE DE SOUTIEN

CITOYENNES, CITOYENS
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Le soutien a besoin de vous!
les finances fines deviennent ténues!
N'hésitez pas:
TERGIVERSEZ FORT
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SOUTENEZ! SOUTENEZ
VOS COMITÉS DE SOUTIEN!

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repassent les bannières bariolées
de vos comités
SONGEZ AU POIDS TERRIBLE DU FER
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CHANGEZ DE MAIN AUJOURD'HUI
Tous les comités ont besoin de vous
ne négligez pas l'adversaire
dans le besoin
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RESTEZ SOLITAIRES
A DROITE HIER? A GAUCHE DEMAIN?
L'important c'est de soutenir l'avenir du principe
MAINTENANT

Tout comme vos parents, vos amis
dans le passé le présent et le futur:
DONNEZ
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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 15:22
LES AMIS DU NEGATIF A L'OEUVRE


Un certain J.J ZERR PLEIN D'HUMOUR ET DE CONSCIENCE AIGUISEE, VIA "ZAZ". A REDIGE CE QUI SUIT:
ocsena
à moi
"- Nicolas Sarkozy peut encercler ses ennemis. Tout seul.
"- Quand Nicolas Sarkozy pisse face au vent, le vent change de direction.
"- Nicolas Sarkozy peut claquer une porte fermée...
"- Nicolas Sarkozy a déjà compté jusqu'à l'infini. Deux fois.
"- Certaines personnes portent un pyjama Superman. Superman porte un pyjama Nicolas Sarkozy.
"- Jésus Christ est né en 1955 avant Nicolas Sarkozy.
"- Nicolas Sarkozy ne porte pas de montre. Il décide de l'heure qu'il est.
"- Nicolas Sarkozy peut diviser par zéro.
- Dieu a dit : que la lumière soit ! Et Nicolas Sarkozy répondit : On dit s'il vous plaît.
"- La seule chose qui arrive à la cheville de Nicolas Sarkozy... c'est sa chaussette.
"- Quand Google ne trouve pas quelque chose, il demande à Nicolas Sarkozy.
"- Nicolas Sarkozy fait pleurer les oignons
"- Les Suisses ne sont pas neutres, ils attendent de savoir de quel coté Nicolas Sarkozy se situe.
- Pour certains hommes le testicule gauche est plus large que le testicule droit. Chez Nicolas Sarkozy, chaque testicule est plus large que l'autre.
"- Nicolas Sarkozy sait parler le braille.
"- Il n'y a pas de théorie de l'évolution. Juste une liste d'espèces que Nicolas Sarkozy autorise à survivre.
- Nicolas Sarkozy et Superman ont fait un bras de fer, le perdant devait mettre son slip par dessus son pantalon.
"- Un jour, au restaurant, Nicolas Sarkozy a commandé un steak. Et le steak a obéi.
- Nicolas Sarkozy a un jour avalé un paquet entier de somnifères. Il a cligné des yeux.
"- Nicolas Sarkozy mesure son pouls sur l'échelle de Richter.
"- Nicolas Sarkozy connaît la dernière décimale du chiffre Pi.
"- Nicolas Sarkozy peut taguer le mur du son
"- Quand la tartine de Nicolas Sarkozy tombe, la confiture change de côté.
"- Dieu voulait créer l'univers en 10 jours. Nicolas Sarkozy lui en a donné 6.
- Nicolas Sarkozy est capable de laisser un message avant le bip sonore.
"- Jésus a marché sur l'eau, mais Nicolas Sarkozy a marché sur Jésus.
"- Une larme de Nicolas Sarkozy peut guérir du cancer, malheureusement Nicolas Sarkozy ne pleure pas.
"- Quand Nicolas Sarkozy passe devant un miroir, il n'y a pas de reflet : il n'y a qu'un seul Nicolas Sarkozy.
"- Si Nicolas Sarkozy dort avec une lampe allumée, ce n'est pas parce qu'il a peur du noir mais parce que le noir a peur de lui.
"- Le calendrier de Nicolas Sarkozy passe du 31 mars au 2 avril. ... Personne ne fait de blague à Nicolas Sarkozy.

par j;f zerr publié dans : LES ZAZ DE L'OCSENA/Les Bâtisseurs d'Abîmes

Repères : claques

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